Les élections confortent le Maroc dans sa pratique démocratique au Sahara et affaiblit davantage la thèse séparatiste souligne l’expert brésilien Altair de Sousa Maia

Les élections organisées mercredi dernier au Maroc confortent le Royaume dans sa pratique démocratique, notamment au Sahara, et « affaiblit davantage la thèse séparatiste des dirigeants autoritaires à Alger et dans les camps de Tindouf », a indiqué l’expert brésilien en relations internationales, Altair de Sousa Maia.

« La thèse des séparatistes qui contrôlent les camps de Tindouf par le feu et le sang sur le territoire algérien, a subi un véritable revers au vu des résultats des élections que vient d’organiser le Maroc, particulièrement la participation massive des populations du sud dans le processus électoral », a-t-il souligné.

Le consultant international brésilien a noté qu’ »il s’agit là d’une preuve incontestable de la volonté populaire d’appartenir amplement au Maroc dans l’unité et la paix », relevant que les sahraouis réitèrent ainsi leur adhésion au projet d’Etat marocain de consolidation démocratique et institutionnelle.

Pour lui, le Maroc a déjà fourni par le passé des « preuves suffisantes attestant que les populations des provinces du sud « font partie et veulent faire partie du Maroc et de continuer à l’être, sous le même drapeau et en parfaite symbiose avec le Trône ».

« Les élections, saluées par les principales démocraties du monde, consolideront la démocratie marocaine et le développement des provinces du sud, promises à un véritable essor économique grâce aux différents projets qui y sont mis en place, en particulier le futur port de Dakhla Atlantique.

Commentant la nouvelle carte politique issue de ces élections, l’ancien professeur à l’université catholique de Brasilia estime que les résultats reflètent une aspiration des marocains au changement et à un sang neuf au gouvernement qui est appelé à accompagner efficacement le déploiement des méga chantiers amorcés par le Royaume