La Revanche des Rats…

Les rats, c’est connu, détestent la lumière. C’est pour cela qu’ils aiment les endroits sombres comme les sous-sols et les caves. Ils sont tranquilles tant qu’ils sont à l’abri de tout ce qui brille. Ils sont heureux tant qu’aucune lueur ne s’introduise dans leurs ténèbres. La lumière dérange et menace jusqu’à leur existence.

Il ne faut pas s’étonner de les voir aujourd’hui s’aveugler et courir dans tous les sens, tirer sur tout ce qui bouge, en maudissant la lumière qui vient dévoiler leur vraie nature hideuse de rongeurs en rivalisant de capacité de nuisance.

Il ne faut pas s’étonner si le Maroc cristallise la vindicte des rats, tant et si bien qu’il n’y en a que pour lui, seulement pour lui. Tous les prétextes, y compris les plus invraisemblables, sont bons pour tenter d’écorner son image et salir sa réputation. L’affaire montée de toutes pièces autour d’un prétendu espionnage marocain sur la France, en est un, un de plus, un en trop…

Il ne faut pas s’étonner qu’au beau milieu de cette curée anti-marocaine, aucun média français n’ait accordé au Maroc ne serait-ce que le bénéfice du doute, a fortiori des preuves d’accusations pourtant graves à l’encontre d’un pays dont le seul « délit » est de porter cette magnifique volonté d’agiter des idées, ce beau désir de se surpasser en s’adossant à ses propres compétences pour fabriquer cet avenir appelé des voeux et hautes luttes du Roi et de son peuple.

Or, ce n’est pas de cet oeil bienveillant que cette aspiration légitime est vue à l’autre bout du marécage. Il s’avère que les discours serinés dans un passé récent sur la coopération nord-sud, étaient trompeurs, que cette prospérité commune n’était qu’un faux slogan…

Toujours est-il que les discours cachent des pratiques peu saines. La cabale hystérique menée par médias interposés le prouve à tous égards, et il faut encore s’attendre à ce qu’elle gagne en agressivité.

Hier « Ghali-Gate », aujourd’hui « Pegasus » et vas-y que je te bombarde à coups de bluffs, y compris les plus loufoques, comme celle dont nous bassinent aujourd’hui « Forbidden stories », Amnesty international, Reporters sans frontières… 

Couinez toujours, vous nous intéressez!