Les déboires du très bavard MAE algérien, Sabri Boukadoum

Après avoir essuyé des échecs retentissants sur les dossiers du Sahara marocain, la Libye et du Mali, le très bavard ministre algérien des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, est tombé en disgrâce. « À la fin du mois de novembre dernier, il a demandé officiellement à partir pour quitter définitivement son poste de chef de la diplomatie algérienne », dévoile notre confrère Algerie Part.

L’hospitalisation de son mentor Adbelmajid Tebboune, président mal-élu, a aggravé l’isolement de l’ancien ambassadeur d’Alger à Washington et à l’ONU, au point de perdre grâce aux yeux même du servile premier ministre Abdelaziz Djerad.

Selon la même source, plusieurs conseillers à la Présidence et des officiers supérieurs du renseignement algérien ont désavoué Sabri Boukadoum, dont l’arrogance lui a valu un désaveu de la part des acteurs du conflit libyen, des nouveaux maîtres du Mali, voire les pays de la région sahélo-saharienne tout entière.

Le succès de l’intervention marocaine à El Guerguarat a fini par dégonfler cette grosse gueule et ses maîtres galonnés, en rupture de ban et en perte de légitimité aux yeux d’une communauté internationale de plus en plus consciente de son jeu malsain sur le dossier du Sahara marocain.

La reconnaissance US de la marocaine du Sahara a fini par mettre « chaos » ce régime incroyablement malade du Maroc.