Jeudi 26 novembre, le Parlement européen a adopté à l’écrasante majorité (669 députés pour et seulement 3 députés contre), une résolution condamnant fermement « la situation grave des libertés en Algérie ». Répression des activistes des droits de l’homme et des journalistes indépendants, arrestations abusives et détentions arbitraires à l’encontre des des meneurs du « Hirak », sous des prétextes aussi fallacieux que cette « menace contre la sécurité nationale » et cette « atteinte au moral de l’armée », cette « collusion avec des puissances étrangères » et tout, et tout.
Sonné par cette avalanche de critiques, le régime vert-kaki a mobilisé tout son appareil médiatique et surtout cette « armée » de soi-disant acteurs de la société « SI VILE », à leur tête le prétendu président du « Conseil national des droits de l’Homme », Bouzid Lazhari pour ne pas le nommer.
Voilà, on y est.
Paraît-il, le monsieur « droits de l’homme » de l’Algérie avait quelques bons « arguments » à faire valoir auprès de son opinion publique et surtout auprès du Parlement européen, à l’origine de la charge sonnée contre son pays. Or voilà, le preux chevalier du « droit-de-l’hommisme » à coloration vert-kaki s’est lancé dans une longue diatribe contre le Maroc (voir-vidéo ci-contre).
Fidèle à la théorie conspirationniste de ses maîtres galonnés, M. Azhari s’est d’abord étonné du « timing » du rapport du parlement européen, estimant, du haut de sa jugeote fêlée, qu’il est destiné, paf, à détourner le regard sur la situation à El Guergarat, où couleraient « des rivières de sang… et de larmes » (!!), en raison de l’intervention des Forces armées royales laquelle, de l’aveu du monde entier, a été pacifique, professionnelle et décisive pour la restauration de la libre circulation des personnes et des biens entre l’extrême sud marocain et le nord de la Mauritanie.
Mais passons, car le préposé à la défense des droits de l’Homme en Algérie s’est plutôt érigé en avocat du « peuple sahraoui opprimé ».
Le citoyen algérien peut toujours crever, croupir en prison, subir les affres de la torture systématique, voir transgresser ses droits les plus élémentaires à la prise de parole, à la libre expression de son opinion… rien ne trouverait grâce aux yeux des haut galonnés octogénaires que ce soi-disant « peuple sahraoui » (dont le nomnre équivaudrait à celui des habitans du quartier Derb Omar, à Casablanca)… qu’ils continuent d’engraisser à coups de milliards de pétro et autres gazo-dollars!
Bien évidemment, la soi-disant « cause sahraouie » pour ce régime résolument haineux et rancunier, n’est qu’un prétexte pour attaquer le Maroc et ses intérêts suprêmes, à leur tête son intégrité territoriale.
Ce régime, on le sait, est désespérément malade du Maroc. Il ne peut tout de même pas accuser le Maroc d’être encore le responsable de cette maladie qui semble incurable: la marocophobie.
Allah y chafi…