Une rencontre autour du roman « Le Roi des Robots ou le Dernier Humain » de l’écrivain Fouad Souiba est prévue ce mercredi 23 juillet au café – salon de thé « Chez Ismaïl », sis 11, avenue Allal Ben Abdellah, à Rabat.
Avec ce roman, l’auteur, également scénariste et réalisateur, donne à lire (et à voir) une fresque palpitante entre science-fiction et réalité, où le pouvoir du numérique défie les limites du possible.
Pour la petite histoire, un couple visionnaire s’apprête à bouleverser l’histoire dans un monde où l’intelligence artificielle redessine les règles du jeu.
Rahil et Arif partagent bien plus qu’un amour fusionnel : une ambition démesurée. Mais quand Rahil disparaît soudainement pour poursuivre son savoir ailleurs, Arif se retrouve seul face au vertige de l’absence. Pourtant, leur projet secret ne s’éteint pas. À travers les frontières et le temps, ils s’unissent pour créer l’ultime révolution : un robot capable de remodeler la société.
Mais jusqu’où iront-ils ? L’humanité est-elle prête à céder sa place ?
Fouad Souiba, entre journalisme, cinéma et littérature
Docteur ès Lettes et sciences humaines, Fouad Souiba est producteur réalisateur pour la télévision et le cinéma.
Né à Rabat, le 16 février 1963, Fouad Souiba, après des études au Maroc et au Québec, obtient un diplôme en communication et journalisme. Depuis 1982, il a mené une intense activité de journaliste, chroniqueur de télé, animateur de festivals de cinéma.
Fouad Souiba a exercé dans plusieurs quotidiens marocains, à la radio et à la télévision en tant qu’animateur de programmes et producteur d’éditions spéciales. Rédacteur en chef de plusieurs magazines dont notamment Cinémasrah et Al Machhad, il est co-auteur avec Fatima Zahra El Alaoui du livre « Un Siècle de cinéma au Maroc ».
Scénariste, producteur et réalisateur de cinéma, il signe en 2004 « Dream Boy », qui est son premier court métrage. S’enchaîneront ensuite en 2007, deux autres courts métrages pour le cinéma; une fiction: « Mia Derial » (5 Dirhams) et un documentaire: Chuchotements à un ange qui passe (Whispers to a passing by angel). En 2007, il coréalise avec Fouad Alaywan un documentaire intitulé « Sanaouat Arrassas » (Années de plomb), produit par Al Jazeera. Il signe en 2010 son troisième court métrage de fiction « Baouabat Assaâda » (Porte du bonheur). En avril 2012, il publie son premier roman « L’Incompris du Hay Mohammadi ».
