
Le constat est sans appel: L’Achoura, célébrée dix jours après le jour de l’an hégire, a perdu son lustre d’antan. Le fameux rush vers les étals fruits secs (amande, noix, cacahuètes, etc) pour garnir ses tables, la préparation du couscous à la viande d’agneau, les cadeaux offerts aux enfants à tous les coins de rues, les rondes autour de « Chaala » -feu de joie allumé lors de la veillée de cette fête-, « Haq Achaoura »… De tout cela, il reste peu de choses.
Interrogés par Le Collimateur, certains y voient notamment le résultat « des contraintes sociales » et l’effet des « tablettes et smartphones ». Petit tour d’horizon dans ce reportage.





