Invité de « CNews » pour un « débat » sur les émeutes en France, le pseudo-essayiste et néanmoins « compatriote », Driss Ghali, crache sur son pays natal, le Maroc!!! (Vidéo)

Il aime à se présenter comme « Marocain » mais n’en rate pas une pour déverser sa haine sur le Maroc et, par ricochet, flatter une certaine France viscéralement raciste et xénophobe. Il aime à se présenter comme « immigré » et ne manque aucune occasion pour cracher sur l’immigration, à laquelle il impute (sciemment) tous les maux de la France, voire cette accusation grotesque de vouloir « tiers-mondiser l’homme blanc »!!!

Lui, c’est Driss Ghali, qui a été invité ce lundi sur le plateau de l’émission « L’Heure des pros » diffusée sur la chaîne française CNews qu’on ne vous présente plus tellement elle suinte le racisme et la xénophobie. Voilà ce qu’il a dit littéralement: « Le Maroc a 10.000 fois plus d’inégalités que la France, il n’y a pas un seul hôpital qui marche, même privé, et pourtant il n’y a pas de bus qui brûlent (…) Au Maroc, je renverse une poubelle, je suis en taule pour six mois et il n’y a pas de liberté provisoire. Et ma mère, elle va devoir corrompre quelqu’un pour donner des oranges…. », a-t-il éructé, du haut de ses approximations à deux balles.

 

 

En entendant ces propos invraisemblables, de surcroît ridicules, on ne peut que se demander si cet autoproclamé « intellectuel engagé » vit réellement sur notre planète ou ment à l’insu de son gré, pour s’attirer les grâces de « Maman France ».

« Il y a un problème ici de justice. Notre justice a créé l’impunité », a-t-il enchaîné, en accusant la justice française d’être assez complaisante et laxiste envers les fils de l’immigration, alors qu’il est lui-même fils d’immigrés. A peine n’a-t-il pas appelé les autorités françaises à dresser des échafauds pour ces enfants de l’immigration dont le tort, paraît-il, est de revendiquer une intégration sans pour autant renier leurs origines.

A ces propos déplacés et étonnamment racistes du pseudo-essayiste marocain, il n’y a qu’une seule explication: la xénophobie est devenue bel et bien un fonds de commerce en France.