Les homosexuels ont maintenant des droits qui dépassent le droit fondamental pour chacun de respecter et de faire respecter ses convictions religieuses. C’est le constat qui qui ressort de cette histoire de maillots « LGBT » que le FC Toulouse, entre autres clubs français, a tenté de faire porter à son ailier marocain Zakaria Aboukhlal, hier dimanche, lors de son match contre FC Nantes.
Face à ce diktat, indigne d’un pays qui se pique d’être le temple de la démocratie et de la liberté d’expression, Aboukhlal a tout naturellement dit « Non ». Et pour avoir dit « Non », il s’est vu écarter ipso facto par son club du match contre FC Nantes, disputé hier dimanche au Stadium de Toulouse.
Pire encore, il risque de se voir imputer le « délit » d’être homophobe par cette France à géométrie variable.
Pathétique!