Mohamed ATIR, humoriste, acteur et animateur radio, affirme avoir un faible pour la soupe populaire « harira ». « C’est mon péché mignon », dit-il, avec son humour coutumier.
Que représente pour vous Ramadan?
Enfant, je me rappelle que, pour mon premier jeûne, on m’a recommandé de ne pas manger de poisson, sous prétexte que le poisson (rires) causait de la soif. Je me souviens qu’après la rupture du jeûne, on s’amusait à taper aux portes des voisins et s’enfuir par la suite.
Ramadan est-il synonyme de paresse?
D’habitude, je voyage beaucoup pendant le Ramadan. L’année dernière par exemple, il m’arrivait souvent de rompre mon jeûne hors de chez moi. Et si je suis plutôt casanier ce mois-ci, c’est parce que j’ai préparé mes émissions à l’avance.
Quel est votre plat préféré?
La harira, c’est mon péché mignon.
Le moment préféré de votre journée de jeûne?
Je préfère un petit somme avant la rupture du jeûne. Ce break me permet de retrouver mes forces et (rires) mes esprits!, car je dors trop peu le Ramadan.