Paraît-il, Javier Otazu a attrapé le seum à New York. « BIG APPLE » lui aurait donné un tel vertige qu’il commence déjà à regretter son séjour doré à Rabat où il a été correspondant de l’agence « EFE » pendant plus de dix ans.
À moins de confondre Rabat avec New York, où il a été fraîchement parachuté, il continue de secréter tel un venin tout le mal qu’il pense du Maroc. Chaque jour que le bon Dieu fait, il nous mitraille de tweets affreusement haineux.
Le dernier en date est, ô sainte gratitude!, celui dont il nous a gratifié il y a quelques heures. « JOUJ BGHAL. AINSI SONT L’ALGÉRIE ET LE MAROC! », a-t-il brait, sans faire aucune distinction entre un pays fermé, verrouillé, naufragé par des généraux grabataires, irresponsables, aventuriers et malfaisants et un pays stable, travailleur, crédible qui a fait le choix de s’ouvrir sur le monde, de respecter son voisinage, et qui a comme priorité le développement socio-économique et le bien-être de ses populations.
La frontera entre Argelia y Marruecos (imagen 👇) se llama « Jouj Bghal » = Dos mulos. Pues eso. pic.twitter.com/8CMXsk61gy
— Javier Otazu (@otazuelcano) November 4, 2021
On ne savait pas que le braiment était aussi une qualité intrinsèque au métier de journaliste. C’est peut-être un nouveau genre journalistique inventé par notre confrère Otazu.
Quel talent! Quelle insulte au noble métier de journaliste! Un journaliste qui a substitué l’analyse et la mise en perspective à l’insulte et à l’injure.
Mais là où le BÂT blesse, c’est que l’agence « EFE » ne fait rien pour « BRIDER » son « journaliste » mal « BÂTÉ »!