« BRAHIM GHALI S’EST MARIÉ 23 FOIS »… « IL NOUS FORÇAIT À MANGER DE LA CHAIR HUMAINE »… LE TÉMOIGNAGE GLAÇANT DE L’UNE DES VICTIMES DU CHEF DES MILICES SÉPARATISTES

Pendant l’audience prévue par visioconférence ce mardi 1er Juin du dénommé Brahim Ghali, depuis l’hôpital San Pedro, à Logrono, où il est terré depuis le 18 avril, des témoignages ont été recueillis par le quotidien espagnol « La Razön » auprès des victimes. Et le moins que l’on puisse en dire, c’est qu’ils sont glaçants. 

Passons sur les frasques sexuelles du dénommé Ghali, qui « envoyait ses troupes au front et retournait violer leurs femmes »… « Il a été marié 23 fois… il suffisait qu’il « aimât » une jeune étudiante pour la prendre à ses parents qui ne pouvaient évidemment s’y opposer »… Dans cette catégorie, le chef des milices détient la triste palme du serial-violeur… Khadijatou Mahmoud, violée sauvagement en 2010, au siège de la soi-disant « ambassade du polisario à Alger », avait déjà livré un témoignage poignant sur la perversité sexuelle du prévenu.

Selon Dahi Aguai, l’un des rescapés des bagnes de Tindouf, « le polisario forçait les prisonniers à manger des morceaux de chair humaine d’autres prisonniers mutilés ». « Ses sbires aimaient torturer et se moquer des victimes ». « Parfois, ils venaient en prison la nuit pour faire danser les victimes nues et les yeux bandés en riant aux éclats », se souvient-il. « Ils ont attaché des cordes aux testicules des victimes et les ont traînées jusqu’à la mort, avant de jeter leurs corps démembrés en pâture aux chiens errants »…

« Ils m’ont mis dans de l’eau froide toute la nuit », se souvient-il encore, révélant qu’il en porte toujours les séquelles (il insiste sur le fait qu’un rapport médico-légal de la Haute Cour nationale le confirme). 

Une demande qui, hélas, risque de rester sans lendemains, du moins quand on constate que le juge d’instruction près l’Audience nationale, Santiago Pedraz Gomez, s’oppose à toute mesure conservatoire à l’encontre de l’accusé.