Il paraîtrait qu’il y a le feu à El Guerguarat. « Bouka » est monté sur les toits pour le crier. « La reprise des hostilités en novembre a brisé un cessez-le-feu vieux de 30 ans« , a-t-il gloussé.
Du haut de son « NIF » bouffi, il hallucine et voit des accrochages… des morts… des blessés…
Vous voyez d’ici « Bouka » rouler des yeux effarés devant le crépitement… des armes. « Alger appelle à un cessez-le-feu immédiat et au retour des parties au conflit à la table des négociations« , a-t-il re-gloussé, au micro de la Radio d’Alger.
Après avoir tenté de rallumer la mèche du conflit, voilà « Bouka » revenir… à de meilleurs sentiments… « Bouka » passe aisément du rôle de pyromane à celui de pompier… un vrai acteur…
Le rameau d’olivier à la main, maintenant il prêche la vertu du « dialogue ».
Reste à voir avec qui… les pantins ou celui qui les héberge, les arme et les finance… les sandalos ou les « caporaux » terrés au Club des Pins, à Alger?
Réponse le 21 courant… du côté de l’East River, à Manhattan…