« Franchement je ne le connais pas trop. Je dois avouer que je l’ai uniquement remarqué quand j’ai vu qu’il s’entrainait avec Badr Hari. Et bien sûr lors de son combat en décembre. En général je laisse ce genre de choses à mon entraîneur. Mais je suis toujours prêt à détruire, peu importe qui j’ai en face de moi », a assuré le kick-boxeur néerlandais d’origine marocaine, Tarek Khbabez, qui se prépare à signer son premier combat le 30 janvier courant contre son adversaire croate Antonio Plazibat, vainqueur du Grand Prix poids lourd K-1 2017, dans le cadre de l’organisation de kick-boxing Glory.
Avec Glory, Khbabez a signé pour au moins six combats. Il rêve de gagner le titre de champion du monde au terme de cette période. « Mon but et de devenir le champion. Peu importe qui a le titre, je suis venu pour le lui prendre », a martelé le natif du quartier populaire « Al Karia », à Salé, dont les organisations de kick-boxing les plus prestigieuses se disputent aujourd’hui la vedette.
Surnommé « le Tank », en raison de sa force de frappe, Khbabez constitue avec Jamal Benseddik l’un des kick-boxeurs marocains les plus redoutables.