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Hezbollah, crimes et trahisons (décryptage)

« Pour ceux qui pensent ou demandent que nous rentrions en guerre totale et qui pensent que ce qui se passe à nos frontières n’est pas assez fort, je dois vous dire objectivement que ce n’est pas le cas », a déclaré vendredi le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans son premier discours depuis le déclenchement le 7 octobre de l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » par le mouvement palestinien Hamas contre Israël.

 

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Le chef du mouvement chiite pro-Iran veut bien applaudir l’opération du Hamas mais précise n’avoir rien avec elle. « Cette opération bénie a été décidée à 100% par les Palestiniens, son exécution était également 100% palestinienne. Cette opération a été cachée par ses décideurs, c’était donc un secret », a ajouté Nasrallah, qui a tenu à dédouaner l’Iran, dont les armes sont pointées seulement contre les pays arabes sunnites (Liban, Irak, Syrie, Yémen, et j’en oublie).

Ceux qui pariaient sur l’ouverture d’un « deuxième front » contre Israël se sont donc trompés lourdement. Mais pas assez que les enfants de Gaza, chair à canon d’une guerre qui ne dit pas encore son nom. Ces enfants ont, paraît-il, le tort de ne pas être du même rite que celui des vipérins Mollahs iraniens, qui n’ont jamais tiré une cartouche en direction d’Israël.

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