L’information est passée sous silence par les médias à coloration vert-kaki. La candidature de l’Algérie aux BRICS, regroupement de quelques pays aux taux de croissance économique importants (Brésil, Russie, lnde et Chine et l’Afrique du Sud), a été rejetée. Le Brésil et l’Inde se sont farouchement opposés à l’adhésion de l’Algérie aux BRICS, qui se prépare à tenir sa conférence annuelle en août prochain en Afrique du Sud.
En revanche, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, l’Indonésie, l’Égypte, l’Argentine sont tous sur la liste des prochains pays qui seront confirmés.
Les éléments évoqués contre l’Algérie sont les suivants: Aucune industrialisation ni vision à cet effet; Aucune diversification économique observée ni projets concrets de l’état à booster le tissu industriel; Pas d’exports ni de création d’emplois; pas d’émergence sur la scène financière internationale; Pas de système bancaire digne de la mission de croissance économique et un system fiscal archaïque; Pas de réformes économiques et stratégiques pour relever les défis du 21e siècle pour un développement durable et diversifié.
« On ne triche pas avec l’économie sur le plan international, comme le font les dirigeants actuels face aux Algériens », a asséné « Le Matin d’Algérie », évoquant « un véritable camouflet » pour l’Algérie du président Tebboune.
Le 11 juillet courant, le président « KEDBOUNE » a encore (excusez le pléonasme!) a encore menti en alléguant que « l’Algérie atteindrait bientôt son objectif, évoqué en juin à Moscou, d’augmenter ses exportations hors hydrocarbures jusqu’à 13 milliards de dollars »!!!
Un mensonge, un de plus, qui ne résiste évidemment pas à l’épreuve des faits. Les hydrocarbures à eux seuls continuent de représenter 60 % des recettes du budget et 98 % des recettes d’exportation de l’Algérie. Autant dire une dépendance quasi-absolue aux énergies fossiles.
Pauvre Algérie…