Fini, le temps où la milice séparatiste à la solde de la junte algérienne sillonnait sans s’inquiéter les localités marocaines situées à l’est du dispositif de défense. Depuis le 13 novembre 2020, qui marque l’intervention des Forces armées royales pour sécuriser l’axe routier de Guergarat, les miliciens du « polisario » ne peuvent plus faire incursion dans les localités marocaines à l’est du « BERM » sans essuyer les tirs des drones d’attaque marocains.
Pour récupérer les corps de ses éléments tués dans cette zone, la milice séparatiste, escortée par les casques bleus de la Minurso, est obligée de hisser le drapeau blanc. De « montrer patte blanche », pour être plus précis. Ce qui démontre, à qui veut bien voir, que cette zone, considérée mensongèrement comme étant « un territoire libéré » par le « front » séparatiste, est bel et bien marocaine.
Pour rappel, cette zone avait été évacuée par les FAR en 1991, dans le seul et unique souci de préserver l’accord de cessez-le-feu, en évitant toute nouvelle « friction » avec les mercenaires à la botte du régime militaire algérien.