Les médias internationaux se font écho d’une bonne nouvelle. Les habitants du Pendjab, au nord de l’Inde ont été ravis et émus de voir pour la première fois, depuis 30 ans, les montagne de l’Himalaya d’une distance de 200 km. La nuit, les étoiles sont plus et mieux visibles.
Les sommets enneigés aperçus font partie d’une des parties basses de la chaîne de l’Himalaya appelée Dhauladhar.
La baisse de la pollution, conséquence heureuse du confinement, a permis à la nature de respirer et à l’air de se nettoyer des « saloperies » humaines.
En Inde, considéré parmi les pays les plus « irrespirables » du monde », les niveaux de pollution ont baissé. C’est le résultat du confinement et du couvre-feu pour 1,4 milliard d’Indiens depuis le 22 mars 2020.
Il est surprenant et attristant de penser qu’il a fallu attendre le « confinement » pour « redécouvrir » la nature… et réaliser le mal que lui font subir les humains. Tous les modèles de croissance et de développement économiques doivent être revus.