« Pour l’Algérie, le vrai problème n’est pas le Sahara marocain, mais le moment où elle rendra le territoire volé au Maroc par la France » (Pedro Altamirano, politologue espagnol)

Le politologue espagnol Pedro Altamirano explique en peu de mots la raison pour laquelle la junte militaire algérienne s’obstine à contester la souveraineté du Maroc sur ses Provinces sahariennes. « Pour l’Algérie, le vrai problème n’est pas le Sahara marocain, mais le moment où elle rendra le territoire volé au Maroc par la France », a-t-il écrit sur son compte twitter, en postant une carte du Maroc tronqué de son Sahara oriental. 

 

 

Concernant le Sahara, le Maroc a posé la question dès 1956, avant même l’existence de l’Algérie qui n’existait pas en tant qu’État constitué et reconnu avant 1962, pour ne pas parler de l’entité séparatiste fantoche inventé de toutes pièces par la Libye de Mouammar Kadhafi et l’Algérie du  colonel Houari Boumedien, de son vrai nom Mohamed Boukharrouba.

L’affaire a été pliée le 6 novembre 1975 quand le Maroc a libéré son Sahara du joug du colon espagnol.

Et si 47 ans après, l’Algérie continue à disputer ce territoire marocain au nom du « faux peuple sahraoui », c’est pour détourner le regard du territoire tronqué de l’oriental marocain par la France pour l’annexer à l’Algérie. On pense particulièrement à Tidikelt, le Touat, Saoura, Gourara, Bechar et Tindouf…