Vidéos. Laâyoune: L’insoutenable indulgence des autorités envers des séparatistes qui se réjouissent de la « défaite » du Maroc face à l’Algérie

On aura tout vu au nom de la liberté d’opinion dans nos provinces du sud avec Aminatou Haidar, Sultana Khaya et bien d’autres. A trop vouloir satisfaire les organisations des droits de l’homme et les pays dits démocratiques, les pouvoirs publics ont ouvert la boîte de Pandore qu’ils auront du mal à refermer.

 

 

 

 

Il n’y a pas un pays au monde, aussi démocratique soit-il, qui laisse des séparatistes, vivant sur son sol, s’en prendre violemment à ses institutions, le traiter d’occupant et s’allier avec son ennemi. Au nom de la liberté d’opinion, des policiers ont été odieusement lynchés, le drapeau national piétiné alors qu’un bout de tissu d’une république fantôme est souvent brandi au sahara marocain par des nervis parqués par le régime algérien (Voir vidéo ci-contre).

 

 

 

 

On aura tout vu mais ce qui s’est passé à la fin du match qui a opposé le Maroc à l’Algérie en Coupe arabe relève vraiment de l’insupportable, de l’indigne et de la pire traîtrise. Des groupuscules télécommandés ont poussé l’effronterie jusqu’à sortir dans les rues de nos chères provinces sahariennes pour se réjouir de la défaite du Maroc en klaxonnant et en scandant des vivats à l’adresse de l’Algérie.

Ces images qui ont été relayées à jet continu et commentées abondamment par les médias algériens font vraiment mal car, en se produisant sur le sol marocain, elles légalisent l’impunité des traîtres qui vivent parmi nous. Aucun pays au monde ne tolèrerait que des énergumènes sortent dans les rues pour flatter l’ego d’un régime qui lui déclare la guerre et se réjouir de la défaite de son équipe en football.

Comme à son habitude, la séparatiste à la solde d’Alger, Aminatou Haidar, n’a pas raté cette occasion pour participer à ce concert de klaxons et cracher de sa langue de vipère son venin sur le pays qui lui a donné naissance, un passeport, un emploi voire des indemnités. Ne cachant pas sa joie, elle a martelé devant les caméras: « Les habitants de la ville occupée de Laâyoune se sont réveillés tôt le matin pour fêter la victoire de nos frères algériens ».

Ville occupée ? Exactement comme l’avait annoncé le présentateur de la météo algérienne quand il avait rayé de la carte la capitale du Maroc. Autant dire qu’Aminatou est une agent du régime algérien à ceci près qu’elle opère à visage découvert. Elle ne l’a pas caché, d’ailleurs, quand elle a créé cette association contre « l’occupation marocaine » et quand elle a déclaré que la seule solution au conflit du Sahara était la guerre.

Sidérés par ces provocations récurrentes, les Marocains ne comprennent pas l’indulgence des pouvoirs publics envers cette séparatiste déclarée qui incite, publiquement, à porter atteinte à l’intégrité territoriale de notre pays. Un délit qui est puni par la loi qui doit être appliquée à tout le monde car les lignes rouges doivent rester des lignes rouges n’en déplaise à Human Rights Watch et autres preux chevaliers du droit-de-l’hommisme bon marché.

Curieusement on n’a pas entendu ces organisations réagir quand l’Espagne, qui se gargarise d’être la 23ème démocratie du monde, avait violemment réprimé les indépendantistes catalans en 2019. La justice a été, tout aussi, sévère envers eux en les accusant de sédition et en condamnant neuf de leurs dirigeants à des peines de prison ferme allant de 9 à 13 ans parmi lesquels se trouvait une femme. Même les droits de l’homme sont devenus à géométrie variable.