Isolé, voire ostracisé, le régime algérien s’englue dans ses propres sables mouvants.
Les marionnettistes du Palais Mouradia tentent par tous les moyens, dont les plus ridicules, à jouer sur les mauvaises cordes de la provocation. Hier, c’était la Kabylie, aujourd’hui ce sont de prétendus bombardements.
Sans oublier, bien entendu, les séquences de la rupture unilatérale des relations diplomatiques, la fermeture de l’espace aérien, le gazoduc, pour ne parler que de celles-là.
Face à toutes ces formes de provocations, le Royaume fait preuve, comme toujours, de sagesse. Une Sagesse à toute épreuve qui semble enrager davantage la junte militaire terrée au Club des Pins, à Alger.
Comme d’habitude, la fausse montée en puissance de cette « folie » est intervenue à la veille des réunions du CS onusien. Et les signes d’aggravation de cet état pathologique se sont accentués après le vote de la Résolution 2602. Sinon comment comprendre la multiplication des sorties des galonnés entre ces deux séquences ?
Maintenant, Alger, par le truchement de ses élucubrations, se met de plus en plus sur le ban de la communauté internationale.
Tout en dévoilant ses vraies visées, l’appareil militaire algérien se met à nu !
Reste à savoir la réaction des puissances internationales face à la démultiplication desdites provocations.