Le chef des milices séparatistes, Brahim Ghali, serait décédé à Cuba, où il a été évacué dernièrement suite à la détérioration de son état de santé.
Souffrant d’un cancer de l’appareil digestif, le chef du « polisario », 73 ans, avait été transféré vers l’État insulaire communiste des Caraïbes, à bord d’un avion médicalisé appartenant à la présidence algérienne, rapportait le Collimateur, dans son édition du 30 août.
Pour l’heure, la junte militaire algérienne n’a ni confirmé ni infirmé l’information du décès du chef des mercenaires.
L’Espagne avait refusé d’accueillir une nouvelle fois ce criminel de guerre, après le scandale de son transfert frauduleux, le 18 avril dernier, vers un hôpital de Logrono, à Saragosse.
Pour rappel, le prédécesseur de Brahim Ghali, Mohamed Abdelaziz, est décédé d’un cancer du poumon, le 31 mai 2016, dans une clinique privée aux États-Unis.