Pilar Bardem est décédée samedi des suites d’une « insuffisance respiratoire », a annoncé le ministre espagnol de la culture, Miquel Iceta.
« Amie » du régime militaire algérien, elle s’est fait remarquer par ses prises de position radicales en faveur de la thèse séparatiste du « polisario ». À l’Instar de son fils Javier Bardem, habitué des camps de Lahmada notamment le pseudo-festival « FiSahara », elle a mis son son « talon d’artiste » au service du « faux peuple sahraoui ».
Ses coups de gueule, ses prises de positions politiques et certains excès de langage proférés souvent sous le coup de la colère lui ont aussi valu autant d’ennemis en Espagne. « Son unique mérite est d’avoir insulté tout le monde », avait asséné en 2003 le maire de Séville, le conservateur Juan Ignacio Zoido.