Une vidéo publiée sur YouTube montre un « discoureur » en train de chauffer les esprits de cultivateurs rifains en leur « expliquant » que le projet de loi sur la légalisation médicale du cannabis n’aurait aucun avantage pour eux.
Cet « orateur » (certainement monnayé et employant des arguments démagogiques bien rodés) prétend défendre leurs intérêts.
Tout laisse supposer, selon de nombreux observateurs, que ce projet de loi a déstabilisé plusieurs lobbies dont notamment celui des « trafiquants séparatistes » rifains installés en Hollande et aussi en Espagne.
Ils tiennent à gêner l’application de la future loi et aussi créer un nouveau climat de crise dans cette région.
Ces lobbies réfractaires à l’autorité de l’État ont toujours préféré agir dans les eaux troubles du non droit pour faire prospérer leurs activités.
La légalisation changera la configuration socio-économique de la région et mettra fin au désordre entretenu par ces milieux.
Tout sera organisé et inscrit dans l’économie formelle au bénéfice des cultivateurs dont les produits seront dirigés vers l’industrie pharmaceutique.
Ceux qui sont dans l’exploitation crapuleuse des cultivateurs refusent le nouveau débouché médical du cannabis qui va assécher leur business.
Ils sont inquiets par la décision irrévocable de l’État de reprendre en main ce secteur et de l’assainir.
C’est tout simplement pour eux une question de gros sous… et cette prétention de défendre le cultivateur rifain n’est que manipulation.
Une autre manœuvre des gros bonnets installés à l’étranger et qui appelle, des pouvoirs publics, une réponse à la fois ferme mais aussi pédagogique destinée aux cultivateurs.
Car changer le mode de fonctionnement socio-économique de certaines collectivités exige aussi des mesures d’accompagnement efficaces, des campagnes d’explication et de communication pour une application optimale de la nouvelle loi.
Le remake de certaines situations antérieures provoquées par des agitateurs eux-mêmes manipulés… et qui en sont les premières victimes… n’est plus tolérable.