LA FÊTE DE L’INDÉPENDANCE, QUE LE PEUPLE MAROCAIN CÉLÈBRE CE MERCREDI 18 NOVEMBRE, A UN GOÛT SPÉCIAL. MARQUANT LA FIN DU PROTECTORAT DE LA FRANCE SUR LE MAROC, ET LE RETOUR TRIOMPHAL D’UN EXIL FORCÉ EN 1955 DU PÈRE DE LA NATION, FEU LE ROI MOHAMMED V, LE 18 NOVEMBRE REMET À L’ESPRIT ÉGALEMENT L’UNE DES PLUS GLORIEUSES ÉPOPÉES DU COMBAT HÉROÏQUE DES FORCES ARMÉES ROYALES, BOUCLIER PROTECTEUR DE L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE DU ROYAUME DU MAROC.
À TOUT SEIGNEUR, TOUT HONNEUR. FAR-MAROC, SITE SPÉCIALISÉ DANS LES QUESTIONS DE DÉFENSE, A EU L’IDÉE LOUABLE, DE SURCROÎT PERTINENTE, DE ROUVRIR L’UNE DES PAGES GLORIEUSES ÉCRITES PAR NOS VAILLANTES FORCES ARMÉES ROYALES DURANT LES 16 ANS DE CONFLIT AVEC LE POLISARIO, SOUTENU PAR L’ARMÉE ALGÉRIENNE, LES EXPERTS MILITAIRES CUBA, VOIRE D’EUROPE DE L’EST.
AU MOMENT OÙ LE CHEF DU POLISARIO, GALVANISÉ PAR LES CAPORAUX D’ALGER, MONTE SUR SES CHEVAUX DE BOIS, TROMPETTE À LA MAIN, POUR MENACER AUJOURD’HUI DU RETOUR À LA GUERRE, IL INCOMBE DE LUI RAFRAÎCHIR UN PEU LA MÉMOIRE. « ET RAPPELLE, CAR LE RAPPEL PROFITE AUX CROYANTS », DIT EN EFFET LA SOURATE 51, VERSET 55, DU SAINT-CORAN.
BATAILLE DE FARSIA… QUAND LES SANDALO-POLISARIENS FUIENT, À PIED…
LE 18 NOVEMBRE 1987, JOUR DE L’INDÉPENDANCE DU MAROC, EST AUSSI UN JOUR MÉMORABLE POUR LES FORCES ARMÉES ROYALES », SOULIGNE EN EFFET FAR-MAROC, EN REPRODUISANT, SUR SA PAGE FACEBOOK, UN REPORTAGE RÉALISÉ PAR NOTRE CONFRÈRE « L’OPINION », ORGANE FRANCOPHONE DE LA PRESSE DU PARTI D’ALLAL EL FASSI (ISTIQLAL), SOUS CE TITRE ÉDIFIANT: « BOUHALI, CHEF DU « POLISARIO », S’ENFUIT À PIED EN PLEIN COMBAT DE LA BATAILLE D’EL FARSIA ».
« INTERCEPTÉ PAR LES RÉCEPTEURS RADIO MAROCAINS, BOUHALI -CELUI QUI COMMANDAIT L’ATTAQUE DU POLISARIO CONTRE LA POSITION « FARSIA »- A ÉTÉ SURPRIS EN TRAIN DE RÉCLAMER UNE JEEP DE SECOURS ALORS QU’IL S’ENFUYAIT À PIED PENDANT QUE LES COMBATS FAISAIENT RAGE », RELATE LE CORRESPONDANT DU QUOTIDIEN « L’OPINON », ALORS PRÉSENT SUR LE THÉÂTRE DE LA BATAILLE.
MOHAMED LAMINE BOUHALI, EX-CHEF DE LA SOI-DISANT « ARMÉE SAHRAOUIE » DONQUICHOTTESQUE, NE SAVAIT PEUT-ÊTRE PAS À QUOI IL DEVAIT S’ATTENDRE CE JOUR-LÀ. « LA DÉBANDADE SONORE DU MERCENAIRE BOUHALI CONSTITUE LA PHOTOCOPIE CONFORME DE LA RACLÉE ESSUYÉE PAR LE POLISARIO EN CE JOUR DE LA FÊTE DE L’INDÉPENDANCE », SOULIGNE LE CORRESPONDANT DE « L’OPINION ».
« LE JOUR J, APRÈS UNE IMPRESSIONNATE PRÉPARATION D’ARTILLERIE À BASE DE LRM BM-21 DE 122 MM, DE BITUBES 14,5MM ET 23 MM, LE POLISARIO A CERTES FRANCHI LE MUR DE SABLE ET S’EST DÉPLOYÉ À L’INTÉRIEUR DU DISPOSITIF DE DÉFENSE MAROCAIN RÉUSSISSANT À BRÛLER UN DE NOS M113 ».
MAIS VOILÀ, « QUELQUES MINUTES APRÈS, NOS CHARS M48A5 ONT FAIT LEUR APPARITION ET C’EST LE DÉBUT DU MASSACRE DES BMP », RACONTE FAR-MAROC, QUI DIFFUSE LES PHOTOS DES DÉGÂTS CAUSÉS AUX BMP POLISARIENS PAR L’ARTILLERIE MAROCAINE.
« SUBISSANT D’ÉNORMES DÉGÂTS, LE POLISARIO A TENTÉ UN REPLI EN DÉSORDRE. MAIS LA BRÈCHE SUR LE REMBLAI (DU MUR DE DÉFENSE MAROCAIN) A ÉTÉ BOUCHÉE PAR DES BMP DÉTRUITS QUI VOULAIENT SORTIR », INDIQUE FAR-MAROC.
« PENDANT LES ACCROCHAGES, UN APPEL RADIO DU COMMANDANT DE LA ZONE SUD A AVERTI QUE Y1 (NOM DE CODE DE BOUHALI) DEMANDAIT DU SECOURS ET UN VÉHICULE POUR SE DÉGAGER ».
IL S’EST ENFUI À PIED, ABANDONNANT LES MILICES QU’IL ÉTAIT CENSÉ COMMANDER, À LA MERCI DE L’ARTILLERIE MAROCAINE QUI LES A COMPLÈTEMENT DÉCIMÉES.
ON NE SE FROTTE PAS IMPUNÉMENT AUX FORCES ARMÉES ROYALES.