À New York, il a échoué à faire passer la thèse éculée, de surcroît impraticable, du « référendum d’autodétermination », lequel a été enterré à tout jamais par le Conseil de sécurité. À Addis-Abeba, ses tentatives pour arracher un quelconque rôle pour l’Union africaine se sont fracassées contre le récif de l’ONU, dont le leadership sur le dossier du Sahara fait l’objet d’un consensus international sans faille… Face à ces fiascos retentissants, du côté de New-York et Addis-Abeba, il a sorti le 21 octobre dernier la carte du blocage de Guergarat, pour tenter de mettre le Maroc devant le « fait accompli » et imposer une nouvelle réalité sur le terrain du conflit.
Mais là encore, il s’est trompé de pronostic en croyant que le Maroc n’allait pas réagir à cet agissement inacceptable. L’intervention professionnelle des Forces armées royales hier vendredi 13 novembre pour débloquer et sécuriser l’axe routier de Guergarat, a mis en échec ce stratagème cousu de fil blanc par le DRS-DSS.
Que reste-il alors au régime militaire algérien, après la perte retentissante de la bataille de Guergarat?
Rien, à part maintenant cette volonté de sauver la face… pour ne pas dire l’honneur qui lui fait affreusement défaut.
Or voilà, il semblerait que le régime vert-kaki ait trouvé une nouvelle parade pour sauver les meubles, ou ce qu’il en reste. Il a remobilisé l’agence de PRESQUE algérienne, APS, pour tenter de vendre une pseudo-« riposte » de la soi-disant « armée sahraouie » à l’intervention des Forces Armées Royales à Guergarat, pour restaurer et sécuriser la circulation sur l’axe routier reliant le Maroc à la Mauritanie.
Voici ce qu’il en est réellement: des tirs sporadiques et des tentatives de harcèlement ne présentant aucune menace pour les Forces armées royales, tellement ils sont inefficaces et inutiles du point de vue militaire.
Des pétards mouillés qui sont pourtant présentés par la machine de propagande algéo-séparatiste comme étant des « trophée de guerre »!! Venant d’un régime biberonné par le défunt KGB soviétique, cela ne devrait pas étonner.
La question qui s’impose maintenant est de savoir pourquoi ce régime persiste à se cacher lâchement derrière le soi-disant « peuple sahraoui », qu’il continu de retenir contre son gré dans le mouroir de Lahmada.
Les dictatures ont le mérite de la clarté, sauf celle de l’Algérie qui mérite, à nos yeux, la palme de la lâcheté.