LES « PATTES DE POULETS ». FORCE DE FRAPPE DES EXPORTATIONS ALGÉRIENNES. ON AURA TOUT VU ET TOUT ENTENDU !!

*Une gouvernance économique en échec

Le régime algérien s’accroche à n’importe quoi, même à des faits dérisoires, pour dire qu’il est là et qu’il « agit ». Alors qu’il n’a aucune prise sur le réel !

Ce régime se sait parfaitement illégitime avec un président ramené sur un char… et des décideurs octogénaires en uniforme qui ne pigent rien aux besoins urgents du peuple algérien, ni à l’évolution du monde.

Ces caporaux autoproclamés généraux… qui ont surtout fait une « guerre civile contre » leur peuple… sont à contre-courant des règles basiques du fonctionnement de l’économie et de la gouvernance raisonnable d’un pays.

Ils ont toujours privilégié une économie rudimentaire basée sur le « pompage » de l’énergie fossile … refusé d’adhérer à l’OMC… de traiter avec la Banque Mondiale ou le FMI…

Ils imposent la règle suicidaire, pour eux, des 49/51 à tout investisseur étranger. Ils ont été incapables de créer un système bancaire moderne. Au niveau des GAB, une seule banque marocaine dispose de plus de guichets automatiques bancaires qu’il y en a dans toute l’Algérie.

Selon les données de la Banque mondiale pour 2019, le Maroc en est à 28,58 GAB pour 100. 000 adultes… l’Algérie en est à 9,20. La Mauritanie et le Lesotho font mieux avec 10,46 et 14,38.

Ils s’inspirent très mal des autres et font tout de travers. Y compris une ridicule industrie automobile avec des kits complets importés… et où seul le « gonflage des pneus » était la valeur ajoutée locale.

Ils entretiennent le mensonge et ne donnent jamais des statistiques réelles. Ni sur leur économie ni sur le reste. Toutes les institutions internationales (ONU, UNICEF, OMS, FAO, BM, FMI,…) se méfient des chiffres donnés par le régime algérien.

Ils ont vidé les caisses du pays… en finançant aussi, en vain, le séparatisme anti-marocain… ce qui a causé leur perte. Alors, pour « renflouer » ce qui reste à renflouer, ils ont sorti de leur képi la géniale idée d’imprimer des milliards de billets de banque… monnaie de singe.

Ils vont payer très cher cette décision qui est en train de les mener direct vers le « modèle » vénézuélien.

On comprend pourquoi les devises s’envolent sur le marché noir algérien. Il faut donner 17 dinars pour avoir un dirham marocain. Alors qu’il y a quelques décades, ces deux devises étaient équivalentes. Pour acheter un euro, il faut donner 198 dinars et pour un dollar, 172 dinars. Terrible constat de leur impéritie!

Les caporaux n’ont jamais voulu une économie diversifiée… en laissant l’initiative à des entrepreneurs algériens dynamiques et créatifs. Ils existent. Ils ont étouffé, parfois sous la menace, des projets sérieux de production nationale. Pourquoi? Parce que tous les généraux algériens sont des importateurs… de TOUT.

Il est hors de question que des usines algériennes se mettent à fabriquer des produits qu’ils importent.

Aujourd’hui, les généraux algériens fauchés restent les yeux fixés et hallucinés sur le « prix du baril » en priant pour une remontée. L’après-pétrole a commencé depuis longtemps… et ils n’ont encore rien pigé.

***Exporter des pattes ou des pieds de poulets au Vietnam… ça nous fait une belle jambe !!!

Alors pour leurrer le peuple algérien, le régime monte en épingle des actions bidons… grotesques et insignifiantes qui ne représentent rien sur le plan économique.

L’APS a pondu un papier pour dire que le régime a retroussé ses manches et a dépêché, lundi dernier 5 octobre, à Médéa, Kamel Rezig, ministre du Commerce pour une « visite d’inspection et de travail » dans une factory d’exportation de « pattes de poulets »… au Vietnam !!!

« Le ministre a procédé à une visite d’inspection et de travail de l’unité de transformation et d’exportation de dérivés de pattes de poules, sise dans la commune de Draa-Smar à Médéa »,  écrit l’APS… agence que beaucoup surnomment « lapièce !! ».

Bien évidemment, la presse algérienne embrigadée a lancé des « cocoricos » suite à cet exploit futile autour des volatiles… mais combien consolatoire pour les frustrations des généraux…

Une autorité locale aurait suffi pour visiter cette factory… mais mobiliser l’appareil de l’État et dépêcher un « Ouazir » pour ce truc… c’est un chouia disproportionné. Mais au vu de la panne d’idées et l’aridité intellectuelle du régime algérien … en économie ou ailleurs… tout est bon à exploiter pour camoufler la faillite.

Avec un régime pareil qui commence la diversification de son économie par le high-tech des « pattes de poulets »…l ’économie marocaine peut dormir tranquille. L’éventuelle compétitivité de l’économie algérienne, pilotée par des « généraux », est mal partie.

Le régime algérien continuera surtout à exporter ce qu’il sait très bien faire: le désordre, les troubles, les embrouilles pour ne pas dire le bordel au Mali, en Libye et en général au Sahel et en Afrique du Nord.

Plusieurs pensent que derrière cette médiatisation outrancière, il y aurait un caporal propriétaire du bidule et probablement aussi importateur d’œufs… Il a voulu impressionner les autres clans des généraux rivaux par son savoir-faire en matière de gallinacés ! …La bouche est bouclée !