Le chef du bureau de l’agence de presse espagnole « EFE » à Rabat, Javier Otazu, franchit un nouveau palier dans la provocation anti-marocaine. Dans la foulée des réactions populaires indignées suscitées par le viol et le meurtre sordide de l’enfant Adnane Bouchouf, à Tanger, il a cru intéressant de se re-manifester à travers son compte twitter pour exprimer son « opinion » sur les appels lancés pour la condamnation à mort de l’auteur de ce crime monstrueux.
« Je ne sais pas ce qui est le plus triste, les milliers de messages haineux demandant la peine de mort pour l’auteur du viol ou du meurtre du petit Adnane, ou l’opportunisme de certains qui vendent ce T-shirt à 150 dh (portant la photo de la victime tragique de ce viol et meurtre ignobles: Ndlr) », a-t-il éructé sur son compte twitter.
Vous avez bien lu: les citoyens marocains choqués par la monstruosité du crime sordide contre un enfant innocent deviennent sans autre forme de procès des incitateurs à la haine.
Monsieur « EFE » à Rabat a bien voulu charger le commun des citoyens marocains indignés par ce crime atroce, mais n’a pas exprimé la moindre condamnation de l’auteur de cette monstruosité. Au contraire, il s’est apitoyé sur le sort du monstre au détriment de la victime, au préjudice de sa famille éplorée et inconsolable et de tous les Marocains dont le « délit » est d’avoir simplement marqué leur solidarité avec les parents de l’enfant regretté.
Pour paraphraser autrement M. Otazu, disons à notre tour: « on ne sait pas (non plus) si M. Otazu a été accrédité au Maroc pour accomplir sa mission journalistique ou pour défendre les pédophiles »!!!
M. Otazu qui aurait mieux fait de se concentrer sur la mission pour laquelle il a été accrédité au Maroc, semble se découvrir l’étrange vocation de « donneur de leçons » sur les réseaux sociaux, voire d’opposant aux institutions du Royaume.
Le 3 avril 2020, M. Otazu s’était signalé à notre attention via son compte Twitter – lequel compte parmi ses visiteurs, le dénommé Abbi Boucharaya!, entre autres chantres de l’entité chimérique « rasd »-, pour critiquer la peine d’1 année d’emprisonnement alors infligée au Cheikh Takfiriste Abou Naïm, pour avoir accusé l’Etat marocain d’ « apostasie » après la fermeture des mosquées dans le Royaume pour protéger les fidèles de la maladie du nouveau coronavirus (Covid-19).
De quoi se mêle-t-il finalement, Monsieur EFE à Rabat?