CETTE CORRESPONDANTE ESPAGNOLE INSULTE LES HOMMES DE HAMMOUCHI QUI ONT SAUVÉ SON PAYS DE BAINS DE SANG CERTAINS!!!

Après avoir piétiné toutes les règles éthiques du journalisme, exploitant son statut de correspondante de « Cadena Ser », « El Espanol » et « El Diario », pour dire tout le mal qu’elle pense du Maroc où elle exerce depuis dix ans sans être jamais inquiétée, malgré ses dérapages inadmissibles, la voilà traiter des pires épithètes les hommes de Hammouchi, patron du pôle sécuritaire DGSN-DGST.

Répondant à un tweet obscur, dont l’auteur n’a pas le courage de dévoiler son identité se cachant derrière un pseudonyme « wawisa », accusant de « corruption » les services de renseignement marocain (DGST), la correspondante espagnole dénommée Sonia Moreno a surenchéri en apostrophant: « Une bande d’assassins »!!!  

« Ils savent uniquement insulter et menacer. Je suppose que dans d’autres cas, ils font des choses pires encore. J’espère que les hautes sphères les recarderont parce que l’image du pays est en jeu »!!!

Bien sûr, ce dérapage verbal n’engage que la petite personne de la pseudo-journaliste Sonia Moreno, déjà épinglée par lecollimateur.ma pour un précédent article paru et supprimé en avril dernier du quotidien « El Espanol », alléguant mensongèrement que le Roi Mohammed VI était infecté au coronavirus!!! La compétence, voire le leadership des services de la DGST marocaine, à leur tête Abdellatif Hammouchi, font l’unanimité chez l’opinion publique espagnole, pour ne pas parler uniquement des officiels qui ont décoré le patron du pôle DGSN-DGST de la plus haute distinction pour avoir fourni à leurs homologues espagnols des informations qui ont évité à l’Espagne des bains de sangs certains.

Seulement voilà, cette soi-disant correspondante espagnole a dépassé toutes les bornes de la bienséance et de la décence, soulevant ainsi la question légitime de savoir si elle n’est pas au service d’agendas extérieurs hostiles au Maroc.

Il est temps, il était grand temps de remettre à sa petite place cette pseudo-correspondante, autant que certains de ses collègues accrédités à Rabat, à l’instar du chef du bureau de l’agence « EFE », Javier Otazu, qui a délaissé le mandat pour lequel il a été « missionné » pour attaquer les institutions du Royaume.