VIDÉOS. AID AL-ADHA. LE JOUR OÙ LE VIPÉRIN HOUARI BOUMEDIENE FIT EXPULSER, MANU MILITARI, 35.000 MAROCAINS D’ALGÉRIE!

Ce Vendredi 31 juillet 2020 coïncide avec la Fête du Sacrifice et… le 45è sinistre anniversaire de l’expulsion de 35.000 Marocains d’Algérie, perpétrée le 18 décembre 1975. L’équivalent des Marocains ayant participé à la Marche verte, initiée le 6 novembre 1975 pour libérer nos chères provinces sahariennes du joug du colon espagnol. 

Le colonel Houari Boumedienne a choisi un jour cher aux Musulmans, Aïd Al-Adha, pour commettre l’irréparable. Aveuglé par son désir de vengeance, il a transformé ce jour de fête en « jour noir » pour des milliers de Marocains qui se sont pourtant sacrifiés pour aider leurs « frères algériens » à recouvrer leur indépendance et leur dignité, en 1962.

 

 

Amnésie, ingratitude, traîtrise… Décidément, il n’y a pas de mots pour décrire l’acte horrible commis ce jour-là par l’un des meneurs du « Clan d’Oujda », le très vipérin Houari Boumediene, de son vrai nom Mohammed Boukharrouba.

Les victimes marocaines de cet acte, -véritable crime contre l’humanité-, en portent toujours les séquelles dans leur chair et leur âme. Ils n’arrivent toujours pas à comprendre les mobiles de cette punition collective, digne des tristement célèbres pratiques nazies.

 

 

Arrachés manu militari à l’Algérie pour laquelle ils ont versé du sang, sans égard pour leurs enfants, ni les femmes, ni les vieilles et vieux, encore moins pour pour la communauté de sang, de religion, de culture… être embarqués comme des malpropres à bord de camions militaires pour être éjectés dans le moindre frémissement à la frontière algérienne avec l’Oriental marocain (Oujda)… être expropriés des biens gagnés à la sueur de leur front… il faut être un vrai fou illuminé pour perpétrer l’imaginable, l’impensable… !

45 ans après, la douleur reste vivace. L’incompréhension, aussi. Les héritiers du fou à lier, Boukharrouba, n’en démordent pas et continuent d’en vouloir au Maroc qui leur a pourtant donné le gîte, de la nourriture, des armes pour faire face aux atrocités commises par le colon français…