Malika Sorel, VRP du régime algérien haineux en France, s’attaque à Rachida Dati (Riposte)

 

 

 

Par: Zakia Laaroussi

Au cœur des polémiques qui secouent la scène politique française, l’offensive dirigée contre Rachida Dati suscite une indignation légitime. Loin d’un débat d’idées éclairé, c’est une entreprise de dénigrement orchestrée avec une lâcheté affligeante. Parmi les voix les plus virulentes, celle de Malika Soral, dont l’acharnement pose question : est-ce une croisade idéologique ou une vendetta personnelle dénuée de toute hauteur de vue ?

Rachida Dati : l’arbre indéracinable que les vents contraires ne font que renforcer

Il est regrettable de constater que la réussite fulgurante d’une femme issue de l’immigration puisse déranger au point de déclencher des attaques d’une bassesse révoltante. Mais que l’on se rassure : Rachida Dati n’a pas besoin d’avocats. Son parcours parle pour elle. Fille du Maroc, fille de France, elle incarne une réussite qui force le respect et qui fait honneur aux valeurs de la République. Contrairement à ce que certains insinueront, elle n’a ni sollicité de passe-droits ni usé d’artifices. C’est par son mérite, sa détermination et son travail acharné qu’elle s’est hissée aux plus hautes sphères du pouvoir.

Aussi, prétendre que le général de Gaulle ou André Malraux auraient désobligément jugé Rachida Dati, comme l’avance maladroitement Malika Soral, relève d’une absurdité risible. De Gaulle, fervent défenseur de la méritocratie, aurait vu en elle une preuve vivante de l’ambition et du courage que la France sait récompenser. Quant à Malraux, chantre de la culture universelle, il aurait apprécié une femme capable d’incarner l’union des identités et la grandeur d’une France qui ne craint pas son héritage pluriel.

Une femme, une mère, une ministre : la triple couronne de la dignité

L’attaque la plus mesquine, la plus honteuse, demeure sans conteste celle qui cible la photo de sa mère posée sur son bureau ministériel. Où est donc le scandale ? Depuis quand l’amour filial est-il un crime ? La culture française et la culture marocaine, dans leur essence la plus noble, exaltent le respect des parents, reconnaissent le rôle sacré des mères, ces figures tutélaires qui enfantent les héros et forgent les destins. Faut-il dès lors comprendre que pour certains, afficher une mère fière et digne serait un affront ? Une telle indignité en dit long sur ceux qui la propagent.

Car la vérité est là : ce n’est ni son parcours, ni son action, ni sa photo qui dérangent. Ce qui suscite ces attaques fielleuses, c’est son refus de renier ses racines, c’est sa volonté d’assumer pleinement son identité multiple, c’est sa capacité à s’élever sans renier ce qui l’a faite. Il est toujours plus facile de critiquer que d’accomplir. Mais comme le dit un proverbe bien connu : « Quand les chiens aboient, la caravane passe. »

Un pont entre deux rives, une femme d’avenir

Rachida Dati ne demande rien à personne. Elle trace sa route avec la fierté de ceux qui savent d’où ils viennent et où ils vont. Sa réussite n’est ni un accident ni un privilège immérité. C’est le fruit d’une obstination, d’un dévouement et d’un engagement sans faille. Ceux qui s’acharnent à la discréditer feraient mieux d’examiner leur propre bilan plutôt que de tenter, en vain, de salir une figure dont la seule présence est une leçon de courage et de résilience.

Quant à ceux qui tentent encore de l’affaiblir par le biais d’insinuations fallacieuses et d’attaques stériles, qu’ils se rappellent ceci : les arbres aux racines profondes ne s’effondrent pas sous la tempête. Rachida Dati est de ceux-là. Qu’on l’admire ou qu’on la critique, elle demeurera ce qu’elle est : une femme libre, forte, inébranlable, et surtout, inattaquable dans sa dignité.