Un mois après l’annonce de sa décision de suspendre sa reconnaissance de l’utopique «rasd», Quito, sans tarder, a donné un grand coup de balai à la «représentation» de cette entité guignolesque, produit pur jus de la nomenklatura algérienne névrotique. Les images en provenance de la capitale équatoriale ne laissent pas l’ombre d’un doute. On y voit d’abord la pseudo- «ambassade» systématiquement verrouillée, son torchon retiré de la façade du bâtiment qui a été totalement vidé de ses occupants (Voir vidéo ci-contre).
Selon des sources confidentielles, les séparatistes ont été chassés comme de vulgaires bandits par les autorités quiténiennes.
Et ce n’est pas tout ! Une simple consultation du site Web du ministère équatorien des Affaires étrangères suffit pour s’apercevoir que le nom de la «république des selfies» a été balayé définitivement de la liste officielle des pays ayant des représentations diplomatiques accréditées à Quito, autant que les coordonnés de sa pseudo-« ambassade » désormais fermée (voir images ci-dessous).
Par ces actes, la République de l’Equateur, grand pays d’Amérique du Sud, a rectifié une « bourde historique » qui aura duré 41 ans et s’est désormais placée du bon côté du droit international et au mieux des intérêts de son peuple qui est lié au Maroc par une forte communauté d’histoire et d’avenir.