De quoi les aboiements du voisin sont-ils le signe ?

La salle où se sont déroulés les travaux de la Quatrième Commission ont une nouvelle fois résonné des aboiements de la meute algérienne enragée. Après le numéro de la dénommée Nouria Hafsi, mégère effarouchée et néanmoins figure iconique de la société «si vile» algérienne, c’est au tour d’un vétérinaire pour ânes, un certain Houmir, pardon Doumir, de montrer ses dents pourries.

 

 

La junte a dû fouiller bien plus en profondeur dans son pedigree pour trouver un casting digne de la célèbre série «Les Deschiens», à la différence près que ces derniers n’ont jamais fumé la moquette et ont toujours brillé par leur humour intelligent.

La junte a peut-être dû organiser un concours canin pour sélectionner ces larbins. C’est à qui savait ou pouvait aboyer le plus fort ! 

On comprend donc parfaitement le malaise de la pourtant sérénissime présidente de la Quatrième Commission, ambassadrice de la République de Lituanie à l’ONU, Mme Sanita Pavluta – Deslandes. On comprend pourquoi, sans l’ombre d’une hésitation, elle a accédé à la demande de la ministre plénipotentiaire à la Mission permanente du Maroc à l’ONU, Majda Moutchou, d’expulser la pétitionnaire algérienne citée plus haut. Celle-là a forcé toutes les digues de la bienséance. On comprend pourquoi elle a maintes fois dû mettre un bémol à « l’ami des bêtes », des ânes en particulier, le nommé Mohammed Doumir, moucheron électronique élevé au rang de faussaire patenté de l’histoire.

On ne se frotte pas impunément au Royaume, de 12 siècles l’aîné de l’Algérie. 

 

 

De quoi cet excès de rage est-il alors le nom?

La question du Sahara marocain est pratiquement pliée. La république militaire des Bouffons le sait, le sent. Elle joue aujourd’hui sa survie, jette toutes ses « f’Arces » dans un combat perdu d’avance.

Le « Titanic Algérie » n’a jamais été si proche… du naufrage.