Marocophobie. Raissouni sert la soupe à la junte algérienne haineuse

Le 1er septembre 2024, Soulaimane Raissouni, qui aime tant à se présenter comme «journaliste d’investigation», s’est manifesté dans les colonnes d’un torchon ibérique aux relents franquistes insoupçonnés, allaité aux mamelles hypertrophiées de la marocophobie bon marché, «El Independiente» pour ne pas le nommer. Un vrai sac à vomi, celui-là !

La question n’est pas tant ce canard «muy Independiente », qui a fait de la maurophilie « une ligne éditoriale »!!!, que  la «terview» accordée par notre « compatriote » à un certain Francisco Carrion, réputé être un griot servile du régime militaire algérien.

Il suffit de consulter le compte «X» de ce journaleux, autoproclamé « spécialiste du Maghreb », pour se rendre compte qu’elle ressemble à s’y méprendre à celle de la propagande algéro-séparatiste.

 

 

« Le Maroc démolit des dizaines de maisons de sahraouis dans le Sahara occidental occupé ». « L’Espagne refuse l’asile à un jeune sahraoui persécuté par le Maroc et emprisonné avec sa famille ». « Colère et misère chez les rescapés du séisme au Maroc: Il y a de la frustration et de la méfiance »… Le pourtant très nauséeux « Echourouk » algérien n’aurait pas fait mieux… 

 

 

Voilà donc pour Francisco Carrión et pour « El Independiente ».

Pour notre notre confrère et néanmoins compatriote, si l’on ose encore écrire, il est clair qu’il a choisi son camp. En se jetant dans les bras de l’ennemi, il a planté un coup de poignard dans le dos de ses concitoyens qui ne le lui pardonneront certainement pas. 

 

 

Simplement, qu’il ne vienne plus nous gonfler encore une fois avec son pseudo-« combat » pour la liberté au Maroc.

La liberté est d’abord une responsabilité.

La patrie, une ligne rouge.