Rima Hassan, militante franco-palestinienne, crache dans la soupe d’Alger à l’insu de son plein gré

Affublée du quolibet « passionaria en carton » de la cause palestinienne, Rima Hassan, fraîchement eurodéputée LFI, a trouvé le filon. Insoumise dans cette France « ingrate », elle n’a trouvé aucun embarras à se soumettre à Alger, marraine du faux « peuple sahraoui ». Les faits sont têtus. Le 22 juin 2024, elle s’est offert un vol Paris-Alger pour assister, dit-on, à la finale de la Coupe d’Algérie jouée au stade du 5 – Juillet. Pure foutaise …

Au fait, Rima Hassan a fait le déplacement à Alger pour autre chose que la fichue finale CR Belouizdad – MC Alger. Et ce n’est surtout pas ce fervent « plaidoyer » en faveur de la pseudo « r.a.s.d » sur les antennes françaises qui va nous contredire.

 

 

 

On vous laisse donc admirer une partie de ce charabia.

Q : « La situation à Tindouf… euh… de la population du Sahara occidental… ressemble un peu à celle du peuple palestinien, non ? ».

R : « Ce que je disais, c’est que la configuration, l’architecture vraiment de la gestion des camps elle-même, il y a des similitudes parce que ce sont les seuls camps qui ont une dimension politique, c’est-à-dire qu’ils sont même gérés et administrés par des entités politiques. Donc, pour les camps de Tindouf, c’est la r.a.s.d, ensuite, pour les palestiniens, c’est les comités populaires. Ce qui est intéressant sur le plan du droit parce que c’est toujours sous ce prisme que j’aime bien analyser les choses, ce qui est intéressant du point de vue du droit, c’est que l’Algérie, c’est un cas unique au monde, quand même. Même les palestiniens n’ont pas ça. L’Algérie a délégué ses prérogatives étatiques à une population qui n’est pas algérienne sur un territoire qui est algérien et qui a laissé ses prérogatives d’administration d’un territoire, en fait à Tindouf, c’est un complexe de cinq camps, dans lequel il y a à peu près 175.000 sujets et il y a des ministères qui sont vraiment installés là-bas et qui opèrent en tant que vraiment ministères représentant la r.a.s.d. Et donc sur le plan du droit international, c’est assez unique au monde. On a un Etat souverain sur son territoire, l’Algérie, qui délègue, sur son propre territoire, des prérogatives étatiques, administratives, judiciaires et politiques à une autre population qui n’est pas nationale, qui est algérienne ».

Voilà pour l’inénarrable « terview » de la militante rouge. Maintenant, il paraît qu’il va falloir en penser quelque chose. Or, rien. A part, un, ce massacre de la langue française – Molière se serait sûrement retourné dans sa tombe -, deux, ce parallèle absurde entre la cause palestinienne et cette supercherie nommée « peuple sahraoui », dont la population équivaut à celle d’un simple quartier populaire à Casablanca (20. 000 habitants) et, dernièrement, cet aveu émis peut-être à l’insu du plein gré de Rima Hassan, que l’Algérie, en déléguant ses attributs de souveraineté sur les camps de Tindouf, représente « un cas unique » au monde, dit autrement un cas « inique » au monde puisqu’il est en porte-à-faux avec le droit international, celui-là même que Rima Hassan (et son parrain algérien) invoque pour cette imposture historique autoproclamée « r.a.s.d ».

Il y a vraiment de quoi avoir  le « r.a.s.d » le bol !