TRISTE SORT DE LA CRÉATURE ARTIFICIELLE D’ALGER. LA MASCARADE HUMILIANTE DES « RE-RECONNAISSANCES » DU POLISARIO !!

Après avoir retiré sa « reconnaissance » au polisario en décembre 2019, le Lesotho aurait de nouveau « reconnu » la créature fantoche selon une déclaration de la nouvelle cheffe de la diplomatie de ce pays.

Certains médias ont fait part de la « jubilation » d’Alger et de ses mercenaires pour cette « re-reconnaissance ».

Au contraire, Alger devrait avoir honte que sa créature artificielle fasse ainsi l’objet d’un tel yoyo humiliant de « re-reconnaissance » dans les relations internationales. Avoir un avis diplomatique, l’abandonner… puis y revenir… signifie qu’il n’y a aucune conviction, ni certitude sur la « chose »!!

Une chose existe ou n’existe pas ! Donc si elle est frappée par la suspicion… mise en équation par les atermoiements… c’est qu’elle est controversée et confuse !!

Si le polisario était véritablement représentatif de quelque chose d’authentique, de crédible… d’abord on l’aurait su… et il n’aurait pas été traité de cette manière par ces États à la souveraineté relative, comme le Lesotho.

Rappelons que le Lesotho est un pays de 30. 000 km2 avec 2 millions d’habitants. Il est enclavé… donc complètement entouré et encerclé par le territoire de l’Afrique du Sud. Sa marge de manœuvre est bien étroite!!

L’entité artificielle d’Alger n’est reconnue ni par l’Organisation des Nations unies (ONU), ni par la Ligue arabe, ni par l’Union du Maghreb arabe, ni par l’Organisation de la coopération islamique ni par aucun pays européen ou pays membre permanent dans le Conseil de sécurité des Nations unies.

Le polisario relève du faux et usage de faux. Il n’a pas de consistance permanente et définitive. La règle est qu’il n’ est pas reconnu… quant à sa « reconnaissance » ou sa « re-reconnaissance », c’est l’exception.

Quand on pense à l’Inde, au Vietnam et au Cambodge, des États qui pèsent et qui ont définitivement tourné la page de la supercherie polisario … la junte devrait avoir honte de pavoiser sur le dos du pauvre Lesotho.