A l’ère du coronavirus, les fleurs se fanent
«Je regarde une rose et je suis apaisé », disait Victor Hugo. Mais aux temps du coronavirus, les fleurs se fanent. Plus personne n’y prête attention. Avec le
«Je regarde une rose et je suis apaisé », disait Victor Hugo. Mais aux temps du coronavirus, les fleurs se fanent. Plus personne n’y prête attention. Avec le