Le Maroc avance à pas sûrs dans le processus de développement et de modernisation lancé par SM le Roi (Agence de presse égyptienne)

Le Maroc avance à pas sûrs dans le processus de développement et de modernisation lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, depuis Son accession au Trône en 1999, écrit mercredi l’Agence de presse égyptienne (MENA).

“SM le Roi a accordé une place privilégiée au développement du pays et à la promotion de l’économie nationale à travers le lancement de chantiers d’envergure axés principalement sur les infrastructures, les transports et l’énergie, qui ont fait du Maroc l’une des économies les plus importantes du continent africain”, a souligné l’agence égyptienne dans un article publié à l’occasion du 21e anniversaire de l’accession de SM le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres.

Depuis son indépendance, lit-on, “le Maroc a opté pour le pluralisme politique et la liberté économique en plaçant le droit de propriété et la liberté d’initiative parmi les droits fondamentaux garantis par la constitution”.

L’économie marocaine se caractérise par une politique d’ouverture et financière et de libéralisation du commerce extérieur qui a permis au Royaume de s’intégrer dans l’économie mondiale et de contribuer au renforcement du système commercial multilatéral, a fait remarquer l’agence MENA.

Dans cette optique, l’agence a relevé que l’économie marocaine a connu, sous le règne de SM le Roi, des progrès remarquables en matière de modernisation des structures économiques et financières et de son cadre juridique et institutionnel dans le but d’accélérer la croissance économique durable et d’améliorer les conditions de vie des citoyens.

Le Maroc, poursuit l’auteur de l’article, a fait du développement humain une priorité nationale, à travers des réformes importantes et des stratégies sectorielles ambitieuses couvrant les principaux secteurs de l’économie nationale.

Abordant les relations maroco-égyptiennes, l’agence indique que Rabat et le Caire partagent des liens “historiques et solides” dépassant le cadre politique traditionnel, marqués par une coordination et une concertation constantes sur diverses questions d’intérêt commun.

Le partenariat économique bilatéral place les deux pays frères comme puissances économiques au niveau régional, a fait observer l’agence MENA, qui souligne que la coopération culturelle a, quant à elle, contribué à renforcer la cohésion et le rapprochement des traditions entre les peuples égyptien et marocain.

“La coopération entre l’Égypte et le Maroc aux niveaux politique et économique ainsi que les liens qui unissent les deux pays frères constituent une base solide pour l’édification de relations stratégiques complémentaires entre les deux pays”, souligne l’agence.

Sur le plan politique, l’Égypte et le Maroc entretiennent des relations fortes et solides fondées sur la compréhension et la concordance de vues et des positions liées aux enjeux nationaux, régionaux et internationaux.

Les relations commerciales entre l’Égypte et le Maroc ont connu une hausse significative au cours des dernières années, totalisant près de 700 millions de dollars en 2019.

Les investissements marocains opérés sur le marché égyptien s’élèvent à environ 79,7 millions de dollars, avec 184 projets dans les domaines des industries chimiques, des matériaux de construction et des batteries, tandis que les investissements égyptiens au Maroc totalisent près de 250 millions de dollars, dont la plupart touchent les secteurs du tourisme et de la construction.

D’autre part, l’agence égyptienne a soutenu que l’ouverture du Maroc sur son environnement international et régional a permis d’approfondir les réformes de modernisation compétitive et de renforcer les partenariats avec les acteurs clés du système international et sa diversification progressive en faveur des pays émergents et en développement dans le cadre de la coopération Sud-Sud.

L’agence MENA souligne que le retour du Royaume au sein de sa famille institutionnelle africaine lui a permis de jouer pleinement son rôle en faveur du développement et de l’intégration du continent africain dans le cadre d’une approche basée le principe gagnant-gagnant.