Il fallait s’y attendre. Le déplacement de Stéphane Séjourné ce lundi au Maroc, le premier au Maghreb et en Afrique depuis sa nomination le 11 janvier 2024 en tant que nouveau ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, a mis en rogne le régime algérien haineux et jaloux.
Pour y répondre, ce régime à la moralité défaillante a déversé, via ses ouailles médiatiques, des tombereaux d’insultes sur le nouveau chef de la diplomatie française, poussant l’effronterie jusqu’à s’attaquer à sa vie privée. « La visite de l’ex-mari -ou ex-femme- du Premier ministre Gabriel Attal intervient quelques heures après celle du chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, qui a fait les mêmes promesses, tout en ayant du mal à les tenir », a aboyé « Algérie Pathétique », pardon « Algérie Patriotique » qu’on ne vous présente plus tellement cet éboulis de haine fondé par le dénommé Lotfi Nezzar, fils de l’ancien ministre de la défense et tristement célèbre artisan de la guerre « si vile » et si abominable qui a tué pas moins de 250.000 Algériens, pue la vulgarité dans son expression la plus crasse et la plus hideuse.
Comme on pouvait s’y attendre également, le média en question a utilisé un pseudo « Abdelkader. S » pour attaquer, quelle audace !, le nouveau chef de la diplomatie française en des termes bas et méprisables . Mais il n’est pas difficile de reconnaître sous ce pseudo l’ombre d’un agent-diplomate chargé des sales besognes, comme l’était l’ancien secrétaire du ministère algérien des affaires « étranges », Abdelkader Belani pour ne pas le nommer.
Simplement, un pétard mouillé de plus ! N’en déplaise aux champions de la nage en eaux troubles, l’axe Rabat-Paris s’est bel et bien remis en marche et ce n’est surtout pas les aboiements des G. G (Cf: généraux grabataires) qui vont l’en empêcher. Paris a certes traîné le pas sur le dossier du Sahara marocain, mais elle s’est clairement engagée à avancer sur la voie de la reconnaissance de la souveraineté pleine et entière du Royaume sur ses Chères Provinces sahariennes. « La question du Sahara, un enjeu existentiel pour le Maroc », a en effet reconnu M. Séjourné, en assurant qu’il va « veiller personnellement » à faire bouger les lignes.