« Il n’y a pas de place aux miliciens, aux mercenaires et aux bandes armées dans notre région », a asséné le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, lors du Sommet de Djeddah sur la sécurité et le développement, qui s’est déroulé hier samedi 16 juillet, en présence du président des États-Unis d’Amérique, Joe Biden.
La junte algérienne, qui abrite, finance et arme les séparatistes du « polisario », parraine des groupes terroristes au Sahel (Daech et Aqmi confondus), se reconnaîtrait sûrement dans le discours du chef de l’État égyptien, il a d’ailleurs été on peut plus clair à pointer les « parrains » des miliciens, mercenaires et autres bandes terroristes armées qui bénéficient de leur soutien pour servir des « agendas destructeurs dans la région ».
« Ces milices, mercenaires et bandes armées entravent la réconciliation nationale dans le monde arabe« , a fait observer le président égyptien, en faisant part de la détermination de son pays à combattre avec force ces milices aux sombres agendas.
Compte tenu du rôle destructeur du régime militaire algérien, parrain des séparatistes « polisariens » et protecteur des groupes terroristes s’activant dans la région du Sahel, pour ne pas parler des mafias de trafic et de traite des personnes, il est clair que la patience de la communauté internationale est à rude épreuve.