Créativité, innovation, liberté de mouvement et durabilité…tels sont les atouts de la nouvelle marque de voiture à Hydrogène vert Namx, conçue par le Marocain Faouzi Annajah, qui explique dans un entretien à la MAP la particularité de son invention et met en avant l’importance de la filière dans la transition énergétique à travers le monde.
1-Quelle est la particularité de NamX?
Namx est un constructeur automobile premium à hydrogène. Nous avons conçu un SUV de nouvelle génération avec un système de recharge unique au monde, qui a été développé pendant plusieurs années afin de faciliter le système de recharge hydrogène pour les clients
J’ai collaboré avec de grands partenaires mondiaux pour développer ce système qui sera bientôt détaillé et présenté à Paris en octobre.
Notre ambition est double, être d’une part un nouvel acteur de référence du monde automobile zéro-émissions, et d’autre part explorer en permanence avec nos clients de nouvelles innovations pour faciliter la mobilité.
2-Pourquoi avez-vous opté pour l’hydrogène vert?
L’hydrogène vert constitue l’une des solutions pour résoudre les défis de la transition énergétique, notamment en matière de mobilité.
Une voiture à hydrogène est une voiture à moteur électrique, mais dans laquelle l’électricité ne provient pas d’une batterie, mais d’une pile à combustible, qui transforme de l’hydrogène en électricité. Si l’on dispose d’hydrogène, il ne reste donc qu’à le stocker dans un réservoir dans le véhicule, et à le relier à une pile à combustible pour produire de l’électricité.
La pollution n’est plus une option. Notre planète est malade. Le temps du changement est venu!
Je saisis l’occasion pour exprimer ma grande satisfaction de voir mon pays, le Maroc, s’investir et s’engager énormément dans ce domaine prometteur et durable.
3-Comment vous positionnez NamX dans le monde automobile?
Namx est un projet industriel et technologique porteur de modernité pour la mobilité écologique du futur qui vise à s’attaquer à un des plus grands défis de notre temps, le réchauffement climatique, sans sacrifier la mobilité humaine et le développement qu’elle engendre.