La séparatiste Sultana Khaya, qui a fait ses « kalach » dans les camps d’entraînement au maniement des armes à Tindouf, a refusé d’ouvrir hier lundi la porte de son domicile à Boujdour à une délégation du Conseil national des droits de l’Homme qui voulait la rencontrer. Pire encore, elle s’est livrée, depuis sa fenêtre, à ânonner dans un acte de provocation inacceptable des slogans attentatoires à l’intégrité territoriale du Maroc.
La délégation du CNDH, composée de membres de l’antenne locale du CNDH (Laâyoune-Sakia El Hamra), et du conseiller de la présidence du CNDH, Abdelmajid Belghzal, avait beau raisonner la pseudo-militante des droits de l’Homme et lui dire que l’objectif de sa mission était d’ouvrir un dialogue avec elle, rien n’y faisait.
En refusant cette offre de dialogue, l’intéressée connue pour ses accointances avec les services algériens, a démontré qu’elle est à court d’arguments et prouvé le mal-fondé des allégations algéro-séparatistes selon lesquelles elle serait « victime de violations des droits de l’Homme ».
Cette attitude contredit également les allégations insidieuses colportées en Espagne, où cette séparatiste très intéressée possède un bien immobilier de luxe près d’Alicante, payé rubis sur l’ongle par les services algériens.