Vidéo. La géostratégie gagnante du Maroc a atomisé le régime militaire sur la scène internationale, souligne dans une analyse pertinente l’ancien officier algérien Anouar Malek

La signature d’un mémorandum d’entente militaire entre le Maroc et Israël a changé la donne géopolitique et géostratégique dans la région du Maghreb. La plupart des analystes politiques reconnaissent que le royaume a joué une carte gagnante en prenant ses distances de l’UE et en s’alliant avec l’axe États-Unis-Grande Bretagne -Israël.

Une stratégie qui lui a permis de consolider sa position dans le concert de nations et de faire bouger les lignes sur la question du Sahara marocain à l’ONU. Du coup, le royaume a isolé l’Algérie sur le plan arabe, continental et international où ses dirigeants n’ont trouvé aucun allié à part une banale abstention de la Russie et de…l a Tunisie au Conseil de sécurité.

Pourtant, les dirigeants algériens ont tout fait pour attirer l’attention sur eux en rompant leurs relations diplomatiques avec le Maroc, en interdisant l’espace aérien aux avions marocains et en fermant le gazoduc (GME) qui passe par le Maroc.

Comme personne n’a réagi à cette escalade, la junte militaire a commencé à brandir le spectre de la guerre contre le Maroc. Mais là aussi, la communauté internationale n’a accordé aucun crédit aux menaces verbales d’un régime en déperdition qui a été sonné par le mémorandum d’entente militaire entre le royaume et Israël.

L’ancien officier algérien, Anouar Malek, qui vit en exil en France fait une analyse pertinente (voir vidéo-ci-dessus) de la vision stratégique gagnante du Maroc face à des dirigeants algériens hébétés et paralysés par une idéologie révolue.

Il dénonce aussi leur exploitation des souffrances du peuple palestinien pour tirer à boulets rouges sur le Maroc. Il a, en outre, mis à nu leur soi-disant attachement au principe de l’autodétermination en parrainant le polisario rien que pour mettre un caillou dans la chaussure du Maroc, comme l’avait dit feu Houari Boumediene, de son vrai nom Mohammed Boukharrouba.

 

 

 

L’ancien officier révèle que plusieurs générations ont grandi avec la haine du Maroc qui est devenue une devise dans les casernes.