Khadijetou Mahmoud, l’une des victimes du serial-violeur Brahim Ghali, vient de formuler une pensée émue pour les enfants endoctrinés par le « polisario » en postant sur son compte une vidéo d’un enfant « tout doux qui rêve d’aller à la guerre »!!
A small sweet child indoctrinated by the #Polisario to dream of going to war. Let these children go to school instead of forcing them into your brutal child soldier training camps! pic.twitter.com/VQkahEtTth
— Jadiyetu (@Jadiyetu11) November 17, 2021
« Laissez ces enfants aller à l’école au lieu de les forcer à entrer dans vos camps d’entraînement brutaux pour enfants soldats« , s’insurge Khadijetou, qui porte toujours dans son âme et dans sa chair les séquelles de son viol crapuleux, en 2010, à Alger, par le monstre Brahim Ghali.
« Je me souviens quand j’avais l’âge de cet enfant, malgré la difficulté de la vie dans les camps, le monde était notre huître. Jusqu’à ce que Ghali vole mon bonheur« , déplore-t-elle.
Khadijatou a été violée par Brahim Ghali alors qu’elle avait à peine 18 ans.
En 2013, elle a réussi à s’enfuir en Espagne où elle se bat pour obtenir réparation et dénoncer la répression systématique et féroce contre les habitants de Lahmada.
This is what the camps looked like 40 years ago. And this is the way they look today. Where are the hundred of millions of dollars poured into the camps by intl aid organizations? pic.twitter.com/XdMwHhApMd
— Jadiyetu (@Jadiyetu11) November 8, 2021
« Voici à quoi ressemblaient les camps il y a 40 ans. Et c’est à quoi ils ressemblent aujourd’hui. Où sont les centaines de millions de dollars déversés dans les camps par les organisations d’aide internationale ?« , s’interroge-t-elle encore sur son compte twitter.
Il suffit de consulter le rapport de l’Office européen de lutte anti-fraude publié en 2015 pour s’apercevoir que l’argent de ces aides « humanitaires » a été détourné par la mafia de Rabouni et les galonnés algériens pour l’achat de villas luxueuses à la Costa del Sol, en Espagne, ou de plateaux bureaux à Nouakchott, où les barons séparatistes se livrent à toutes sortes de trafics (drogues, armes, voitures volées et contrebande de cigarettes).
Quant aux slogans arborés à tout vent, ils sont aussi creux que les ventres affamés des enfants de Lahmada.
Pathétique!