Vidéo. Arrêté à 14 ans et exécuté en public à 18 ans, les images de l’horreur chiite au Yémen

En matière d’horreur et de déshumanisation les Houtis du Yémen n’ont rien à envier aux terroristes de Daesh qui décapitaient d’innocents civils en Syrie et en Irak. Pis encore ces chiites, affidés à l’Iran, tentent de légitimer ces exécutions, en public, en organisant des parodies de procès. Dernièrement ils ont accusé huit civils d’être impliqués dans l’assassinat du dirigeant houti Saleh Assallad tué, pourtant, lors d’une frappe aérienne en 2018.

Parmi les accusés on trouve le jeune Abdelaziz Al Assouad arrêté alors qu’il n’avait que 14 ans avant d’être condamné, avec sept autres civils, à la peine de mort. Le jour de l’exécution les condamnés sont emmenés sur un terrain vague où une foule nombreuse s’entassait pour savourer ce massacre digne des barbaries médiévales.

D’autant plus que les Houtis savent mettre en scène l’l’horreur en exécutant un par un les pauvres suppliciés. Le premier qui passe à la trappe est ainsi jeté à terre les mains liées dans une position recroquevillée avant qu’un bourreau ne vide sa kalachnikov ou son revolver sur sa tête.

Le paroxysme de la sauvagerie humaine quand on sait que les autres « condamnés »  sont obligés d’assister à ce spectacle effrayant en attendant leur tour. Le pauvre Abdelaziz n’a pas pu supporter cette scène et n’arrivait plus à tenir debout avant de s’écrouler.

Les barbares qui n’ont eu aucune compassion pour ce jeune homme frêle et malade, l’ont « soutenu » jusqu’à son tour soit arrivé avant d’être exécuté. Le pauvre enfant à beau clamer qu’il était innocent pendant qu’on le mettait à terre mais le bruit des balles des criminels sonnait plus fort que sa petite voix innocente et enrayée par la peur de mourir. C’est ce genre de régime que la junte militaire algérienne veut transposer dans la région du Maghreb en s’alliant avec l’Iran des Mollahs et en encadrant militairement le polisario via le Hizbollah chiite qui est à l’origine de la décrépitude que connait le Liban.