Scandale. L’ex-« représentant du polisario à Paris », le très libidineux Oubi Bouchraya, au coeur d’une affaire de détournement de fonds mis à disposition par l’ambassade d’Alger en France

On en sait un peu plus sur le coût faramineux des aventures parisiennes adultérines de l’ex-« représentant du polisario en France », promu actuellement « représentant du polisario auprès de l’Union européenne ». Bachir Oubi Bouchraya, épinglé en 2019 pour ses aventures adultérines avec la jeune présidente de la « ligue des jeunes sahraouis », Aziza Hameida, est accusé actuellement d’avoir détourné 40.000 euros des 70.000 euros mis à sa disposition par l’ambassade d’Alger à Paris au titre de l’année 2020, indiquent des sources concordantes à lecollimateur.ma

Selon nos sources, le nouveau « représentant du polisario à Paris », le dénommé Mohamed Sidati, actuellement en visite aux camps de Tindouf, s’est plaint auprès du Sg du « FP », Brahim Ghali, au sujet de ce détournement, mais ce dernier lui a recommandé de « taire l’affaire » sous peine d’essuyer les représailles de l’ambassade d’Alger à Paris, dont les relations avec le pourtant très libertin Bachir Oubi Bouchraya, seraient toujours « privilégiées ».

La disparition des 40.000 euros n’est toutefois que la partie émergente de l’Iceberg des détournements. Bachir Oubi Bouchraya, réputé être avide de chair fraîche, au détriment de la mère de ses enfants, est également épinglé pour la disparition de 17 ordinateurs portables neufs ayant été été fournis à son officine parisienne entre 2019 et 2020.

Son successeur, Mohamed Sidati, se plaint d’avoir hérité également de plusieurs dettes, notamment auprès du bureau d’Air Algérie à Paris, en raison du non-remboursement par son prédécesseur des prix des billets d’avion mis à la disposition des Français pro-séparatistes pour la promotion des thèses du « polisario », même s’il recevait les montants y afférents de la part du « Comité national algérien de soutien au peuple sahraoui » (Cnasps).

Le remplaçant de Bachir Oubi Bouchraya se plaint également des arriérés importants en matière d’eau, électricité, Internet et de téléphone.

« La romance hard du représentant du polisario en France »

C’est sous cet intitulé, que « MaghrebLeaks.com » avait dévoilé en 2019 un autre aspect du « militantisme » de Bachir Oubi Bouchraya: ses aventures adultérines avec la jeune présidente de la « ligue des jeunes sahraouis », Aziza Hameida, malgré les fiançailles de cette dernière avec El Mahjoub Hussein Emhammad Mleiha, « coordinateur de l’action de la société civile sahraouie ». 

Le pot-aux-roses a été découvert en octobre 2019 à Rabouni, QG du front polisario, où le « Don Juan » s’est rendu, en provenance de Paris, pour assister aux réunions préparatoires du 15è Congrès du FP, alors prévu pour le 15 décembre 2019.

« Ceux qui ont eu l’occasion de croiser le représentant des sahraouis à Paris, durant son récent séjour en octobre dernier, à Rabouni, ont sans doute remarqué son air quelque peu distrait et très pensif, durant les réunions pour recueillir les directives en perspective de la tenue du 15ème congres du Polisario, programmé pour le mois de décembre prochain, et ses bizarres éclipses lors des pauses cafés, durant lesquelles on l’apercevait en train de s’extasier, sourire aux lèvres, face au contenu mystérieux de son téléphone », rapporte « MaghrebLeaks.com ».

« Hormis ces courts instants de sérénité, Bachir Oubi Bouchraya donnait manifestement l’impression qu’il n’avait pas toute sa tête avec lui et qu’il en avait oublié une partie à Paris, d’autant plus qu’il montrait beaucoup d’empressement à vouloir regagner le plus rapidement possible la ville des lumières, pour un militantisme d’un autre genre », raconte la même source.

« Intrigué par ce drôle de comportement de Bouchraya, l’un de ses amis intimes, a fini par le cuisiner, pour apprendre avec ahurissement, que ce dernier est sous l’emprise d’une idylle, au grand dam de sa femme et de ses enfants délaissés –militantisme oblige- à Bilbao, où ils subsistent difficilement, en s’accrochant tant bien que mal aux modiques aides sociales de l’État espagnol », relate le site.

Et d’ajouter: « Selon les confidences filtrées par ce proche de Bachir, ce dernier lui a révélé qu’il a fini par succomber aux flèches de cupidon, lorsque ses mains et ses lèvres ont commencé, il y a tout juste quelques semaines, à se balader avec ardeur sous les grasses entournures de la mlehfa (tenue traditionnelle des femmes sahraouies) de la jeune présidente de la ligue des jeunes sahraouis, Aziza Hameida, dont le joli minois n’apparait plus sur son profil facebook, enregistré sous le nom de Aziza Mint, depuis que son bédouin d’amant, lui a jalousement intimé l’ordre de le soustraire au regard des autres hommes ».