L’information et les caricatures circulent sur les réseaux sociaux et sont reproduites par plusieurs sites d’information. L’ambassade de France à Nouakchott aurait décidé de mettre fin au contrat qui le lie avec le caricaturiste Khaled Moulay Idriss pour « offense aux symboles de la France ».
Mais alors où est passée la liberté d’expression à la française quand le président Emmanuel Macron devient un symbole sacré qu’il ne faut pas caricaturer au moment où tout le monde à l’Hexagone évoque un « droit au blasphème » qui n’existe même pas dans les lois françaises.