NOUVELLE ESCALADE ORCHESTRÉE À GUERGARAT. LES LAQUAIS SÉPARATISTES DU RÉGIME VERT-KAKI REFONT APPARITION AU NIVEAU DU POSTE FRONTALIER MAROCAIN.

Il semble que le cirque des provocations séparatistes attisées par l’armée algérienne, au niveau du passage frontalier marocain de Guergarat, n’est pas près de se terminer. C’est en tout ce que démontrent les photos parvenues dans la soirée de ce samedi 10 octobre à lecollimateur.ma depuis le seul couloir terrestre (3,5 Km) reliant le poste frontalier marocain et le nord de la Mauritanie.

Sur les photos envoyées à lecollimateur.ma, apparaît un premier groupe de larbins séparatistes au bord de la route élargie et bitumée en 2016 par le génie civil marocain, en train de déposer leur attirail constitué de fanions de la pseudo-« rasd » et, vraisemblablement, de tentes de fortune qu’ils envisageraient de dresser au niveau de cette route vitale au trafic des biens et des personnes entre le Maroc et sa profondeur subsaharienne.

À l’heure où l’on met en ligne, l’on ne sait toujours pas si les éléments de la Minurso sont intervenus pour empêcher les laquais séparatistes du régime militaire algérien de bloquer le seul couloir terrestre emprunté quotidiennement par les poids lourds marocains pour acheminer des marchandises vers les pays d’Afrique de l’Ouest.

À défaut d’une intervention ferme de la part des Casques bleus, le Maroc doit prendre ses responsabilités et empêcher à tout prix la reproduction d’un « Gdim Izik bis » dans cette région vitale au commerce.

Il est clair que les éléments séparatistes galvanisés par les militaires algériens cherchent à créer un foyer de tension au niveau de cette région extrêmement sensible, après leur échec flagrant à créer une route terrestre parallèle entre Tindouf et Zouérate (Mauritanie).

Il est clair aussi que le polisario et son parrain algérien cherchent via ces agissements inacceptables à tester la réaction des autorités marocaines. Il en ressort que tout atermoiement de ce côté pourrait encourager ces agissements très dangereux.

Une riposte ferme de la part des autorités s’impose pour dissuader les meutes séparatistes surexcitées par leur tuteur algérien de réinvestir la région pour se livrer à de nouveaux actes de gangstérisme et de nouvelles provocations à l’encontre des usagers marocains de ce passage frontalier stratégique pour le Royaume.