Les trois Tunisiennes détenues à la prison locale de l’Oudaya à Marrakech dans le cadre d’une affaire de trafic international de drogue jouissent de tous leurs droits, assure samedi l’administration de cet établissement pénitentiaire.
En réaction à des informations rapportées par certains sites électroniques au sujet de ces trois détenues de nationalité tunisienne, l’administration de la prison locale de l’Oudaya à Marrakech précise dans une mise au point qu’elles jouissent de tous les droits qui leur sont garantis par la loi, à l’instar des autres détenues, et qu’elles n’ont jamais déposé de plainte sur leurs conditions de détention.
L’une de ces trois détenues, fait-on savoir, avait été placée dans une cellule individuelle suite à une décision disciplinaire, sur fonds d’insultes et injures à l’égard d’une employée de l’établissement au vu et au su des autres détenues et employées.
L’administration de l’établissement avait reçu une demande pour le regroupement des trois sœurs dans une même cellule, ce qui n’était pas possible du fait que l’une d’elles avait été placée dans le bloc réservé aux femmes enceintes ou accompagnées de leurs enfants, après avoir donné naissance à un bébé au sein de l’établissement, ajoute la mise au point.