AMNESTY INTERNATIONAL AURAIT-ELLE « INSTRUMENTALISÉ »  LE MAROC POUR RÉGLER SES COMPTES  AVEC LA SOCIÉTÉ ISRAÉLIENNE NSO GROUP ??

S/t. Un vieux conflit entre Amnesty International et NSO Group

Amnesty International aurait choisi de placer le Maroc au cœur d’une étonnante campagne internationale à plusieurs détentes. D’abord accuser le Maroc  d’avoir acquis le logiciel espion Pegasus et ensuite attaquer l’entreprise israélienne NSO Group qui le fabrique.

Le gouvernement marocain a rejeté les accusations d’Amnesty lui demandant  de fournir des « preuves irréfutables » et non pas hypothétiques.

Amnesty aurait  aussi estimé que l’établissement d’un lien entre Pegasus et l’affaire Omar Radi pouvait offrir un bon récit de médiatisation.

Omar Radi  a été propulsé  à la Une comme « martyr du logiciel » et il fallait aussi pour Amnesty le « sauver » au vu de certains soupçons pesant sur lui.

Bref tous les ingrédients étaient là parce que le Maroc est aussi le « souffre-douleur » habituel de cette organisation.  Sachant aussi qu’Amnesty International détourne  le regard devant de véritables horreurs, atrocités sanglantes, violations massives et monstrueuses des droits humains partout dans le monde, même chez des pays supposés démocratiques.

Amnesty International vise « principalement » et depuis très longtemps la société NSO Group, propriétaire de ce logiciel. Elle a porté plainte en Israël contre le ministère israélien de la Défense pour qu’il annule la licence d’exportation.

Sauf qu’Amnesty est juste contre « l’exportation »  du logiciel israélien, mais pour traquer et surveiller les Palestiniens, l’organisation ne dit rien !!

S/t. La réaction convenue du « parapluie international »

Omar Radi fait l’objet d’une enquête par la justice de son pays sur de probables « financements de l’étranger » en lien avec des « services de renseignement ».  Il nie et affirme que l’accusation est « ridicule » et relève de « l’intimidation ». Il a droit à la présomption d’innocence !

Il a riposté en déclarant que l’affaire est montée de toutes pièces. Selon lui, tout cela est en « lien direct » avec l’accusation  d’Amnesty International,  suspectant le Maroc d’avoir acquis Pegasus.

S’en est suivie toute une littérature développée par Amnesty et 17 autres médias hostiles pour empêtrer le Maroc dans l’affaire du logiciel.

Omar Radi, et ses soutiens internationaux, sont  parvenus à greffer  une deuxième affaire (Pégasus) ciblant le Maroc, pour faire oublier la première portant sur les soupçons d’intelligence avec une « partie extérieure ». On ne sait plus de quoi il faut parler ?

S/t. Renversement de  l’équation, Pégasus au cœur du débat!

Tout a été zappé et évacué, pour ne garder qu’une une SEULE, UNIQUE et EXCLUSIVE interrogation: le Maroc possède-t-il le logiciel ?  C’est désormais la seule question! Il n’ y en a plus d’autres !

L’équation est renversée !! La stratégie du « parapluie international » est de faire feu de tout bois pour ne  parler que de Pegasus ! Et surtout faire oublier les soupçons qui peuvent amener Omar Radi à s’expliquer devant la justice de son pays.

Omar Radi a même mis son IPhone à la disposition d’Amnesty International pour lui permettre de collecter les preuves.

Face à l’idée que le Maroc pourrait détenir des preuves lourdes, Amnesty a montré  une agressivité diffamatoire, laissant supposer le déploiement d’une opération de « sauvetage », parce-que le propos est excessif.

S/t. Une  » mesure punitive  » selon Amnesty international ?

Amnesty  accuse violemment le Maroc de prendre des « mesures punitives pour distraire de son sombre bilan en matière de droits humains « , écrit une certaine illuminée Heba Morayef,  la directrice régionale basée à Tunis. Les soupçons ne seraient que pure invention.

Or, malgré cette diversion d’Amnesty, les  autorités marocaines sont toujours en attente  de « preuves  » de la part du Secrétariat Général d’Amnesty international basé à Londres. Et non pas de déclarations  embrouillées d’une  antenne régionale.

La présomption d’innocence est un droit garanti par la Constitution. Omar Radi reste innocent jusqu’à la décision définitive de la justice qui décidera de sa culpabilité ou de son innocence.

Si les soupçons qui pèsent sur Omar Radi ne sont pas fondés, tout le monde le défendrait (dans son pays et ailleurs) sans qu’il soit obligé de mobiliser un « illusoire filet étranger ». Ce réflexe qui a leurré  et égaré tant  d’individus en les illusionnant sur leur pseudo « importance » planétaire.

En plus du fait que le Maroc ait démenti  catégoriquement  qu’il ne dispose pas de cette technologie… il n’en demeure pas moins qu’aucun État au monde ne négocie avec des tiers les moyens de sa Souveraineté.