ARRIVES A TOKYO AVEC DES PASSEPORTS ALGERIENS, DES ELEMENTS DU «POLISARIO» S’INFILTRENT PAR EFFRACTION DANS UNE REUNION PREPARATOIRE DE LA 9E TICAD. RETOUR SUR UNE VOYOUTERIE ALGERO-SEPARATISTE INQUALIFIABLE

L’entité séparatiste et son mentor algérien refont parler d’eux à travers -et c’est un euphémisme- un nouveau scandale. Et ce ne sont surtout pas les participants à la réunion préparatoire de la 9ème Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD9), qui diront le contraire.

Que s’est-il donc passé lors de cette réunion censée arrêter l’ordre du jour et assurer le bon déroulement de la TICAD9, prévue samedi 24 et dimanche 25 août dans la capitale japonaise ? Selon nos informations, des éléments séparatistes à la solde d’Alger se sont infiltrés par effraction dans cette réunion consacrée au développement de l’Afrique.

Vous avez donc bien lu: par effraction. Ne reconnaissant pas la «rasd» et n’ayant aucun lien, ni de près ni de loin, avec cette entité fantoche, pas plus d’ailleurs qu’avec le pseudo-«polisario», le Japon, pays hôte de la TICAD, n’a pas délivré de visas aux éléments séparatistes et a catégoriquement refusé de réceptionner les documents de visa ou leurs prétendus documents de voyage. Les invitations à la Réunion Ministérielle de la TICAD9 et à celle des Hauts fonctionnaires ont été adressées par la MAE japonaise, Mme Kamikawa Yoko, exclusivement aux pays africains membres des Nations Unies.

Or, ne voilà-t-il pas Alger user du faux en infiltrant ses pions au Japon et à la réunion préparatoire de la TICAD9 en tant que membres de la délégation algérienne. C’est donc sous une fausse identité et munis de passeports algériens que les éléments séparatistes ont pu accéder au territoire japonais et à la salle de réunion où la TICAD9 devait être préparée.

Flagrant délit d’escroquerie 

Nous y sommes. A première vue, seules les plaques des 54 pays africains invités par le Japon et membres de l’ONU étaient posées et tout était réglé comme du papier à musique. Or, une pancarte surgit subitement du cartable d’un séparatiste qui s’est introduit dans la salle en tant que membre de la délégation algérienne. Tel un voyou, il pose (discrètement) ladite pancarte portant le nom de la chimérique «rasd» sur la table (voir vidéo ci-dessous).

 

 

Seulement voilà, cette curieuse pancarte était tellement différente des plaques officielles qu’elle n’a pas échappé à l’œil vigilant de la délégation marocaine qui a découvert et révélé le pot aux roses.

Stupéfaction et tollé général dans la salle contre ce comportement digne des actes de piraterie, puis une remise des pendules à l’heure par le pays hôte. Sans complaisance, ni ambiguïté, le Japon a clarifié ne pas reconnaître la pseudo- « rasd».

Alger-« polisario », la dernière danse du coq égorgé

Maintenant, cet acte abject, – il y a de quoi faire rougir un bandit de grand chemin !-, appelle quelques remarques. Un, l’Algérie démontre encore une fois à la face du monde qu’elle est le parrain et le géniteur de cette entité fictive. C’est l’Algérie qui a créé de toutes pièces ce différend régional autour du Sahara marocain, une vérité criante que le Conseil de sécurité de l’ONU n’a eu de cesse de marteler à travers ses différentes résolutions. Deux, le recours à ces pratiques gangstéristes confirme, à qui veut encore voir ou entendre, la faillite morale et politique d’un régime algérien en roue libre.

Sonnée par les grandes victoires remportées dernièrement par la diplomatie marocaine, illustrées par la dynamique internationale d’appui à la souveraineté du Royaume sur ses provinces sahariennes et de soutien au Plan d’autonomie marocain, -dynamique impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI-, il ne restait plus à l’Algérie que le recours à la fumisterie, aux manœuvres dilatoires, rédhibitoires et inutiles au demeurant, pour tenter de donner un semblant de visibilité à son projet séparatiste mort-né.